Le train de la durabilité est en marche. Pour vous aider à monter à bord ? Le SBCC : un pôle de compétences en business durable au sein de votre banque. Découvrez cette équipe de spécialistes passionnés…
Votre banque est le partenaire clé de la transition durable de votre entreprise. Et pour cause : elle est au cœur de l’activité économique. Une position idéale pour vous conseiller et vous accompagner tout au long de votre parcours. C’est aussi l’acteur capable d’intégrer la dimension financière à votre projet de transformation ainsi que de vous connecter à un vaste réseau. Une mission pluridisciplinaire capitale, portée par des experts… qui sont bien plus que des banquiers !
Le SBCC : un pôle d’experts
Ces quatre lettres désignent le « centre de compétences en business durable » au sein de votre banque. Une équipe totalement dédiée à la durabilité ; composée de dix experts venus d’horizons différents et disposant de compétences complémentaires, mais qui portent une passion et une mission commune : contribuer à la transformation durable de la société. La diversité des profils est l’un des atouts du SBCC : des ingénieurs et des spécialistes en business development qui mettent au service des entreprises…
- une expertise technique portant sur quatre grands domaines : la décarbonisation, l'économie circulaire, le capital humain et les smart cities ;
- des connaissances entrepreneuriales approfondies, notamment en matière d’analyse, de changement et de développement de business model ;
- des expériences et des parcours multiples (communication, secteur financier, change management, etc.) ;
- une démarche scientifique qui leur permet d’approcher et de creuser tout type de sujet ;
- une vision claire sur les solutions financières et non financières adaptées à chaque projet ;
- la capacité de connecter les acteurs entre eux au sein du réseau (organisations interprofessionnelles, entreprises, institutions publiques, ONG, fonds d’investissement thématiques, etc.).
Une vision holistique de la transition
La mutation vers une économie durable est un sujet complexe et multifacette. C’est pourquoi le SBCC l’appréhende de manière globale afin de prendre en compte toutes ses dimensions (financière, humaine, naturelle, technique, etc.). Cette approche holistique est une carte maîtresse de la transition des entreprises… de votre entreprise. Concrètement, l’action du SBCC s’adapte au degré de maturité de chaque projet :
- En amont :
- Approcher et engager le dialogue avec tous les acteurs économiques afin d’accélérer leur prise de conscience et les aider à identifier les premiers pas du changement ;
- Conseiller et accompagner ces entreprises dans leur compréhension du monde de demain… où tout est encore à construire ;
- En aval :
- Comprendre (et apprendre avec) les projets innovants portés par des entreprises déjà avancées dans la voie de la durabilité. Des initiatives qui consacrent de nouveaux business models ou de nouvelles technologies et qui gagnent à être soutenues et partagées ;
- Guider ces projets durables dans leur parcours financier, car ils sont souvent exigeants sur le plan du financement : que ce soit pour initier la transformation ou pour passer à une échelle supérieure.
Une mission… et une passion commune
« Personne ne peut gagner dans un monde qui perd ! » Chaque projet fait donc partie de la solution. Toutes les entreprises doivent se transformer pour faire des affaires de forme plus durable. Un nouveau paradigme… bien compris par le SBCC. Le point de départ de sa mission : construire une compétence sur tous les sujets liés aux enjeux de la durabilité et contribuer à déployer des solutions (financières ou non). Un défi majeur… qu’une banque se doit de relever. L’objectif est clair : insuffler le changement et démontrer que des solutions existent au sein du système actuel. Il est possible de continuer à faire des affaires tout en transformant son secteur d’activité. L’urgence impose de se lancer et de ne pas attendre que le monde change tout seul. Autrement dit ? Anticiper l’avenir et apporter sa pierre à l’édifice d’un avenir plus durable.
Prêt à entamer ou poursuivre vos transition durable ?
Prenez contact avec nos experts du SBCC sans plus attendre !
04.02.2020
Critères ESG : ces indicateurs qui en disent long sur votre entreprise
La performance d’une entreprise ne peut plus se limiter aux indicateurs financiers. Environnement, éthique ou gouvernance : autant de dimensions « durables » cruciales pour analyser son présent et son avenir…
Si l’engagement environnemental est un moteur de transformation pour les entreprises, ce n’est pas le seul. En effet, c’est aussi une question de performance commerciale et économique. La lutte contre le changement climatique fait naître un nouveau paradigme et le business as usual n’est plus une option envisageable pour les entreprises qui veulent rester compétitives. Pour continuer à répondre aux exigences du marché, il faut impérativement s’inscrire dans la voie de la transition durable… Nouveaux business models, chaînes d’approvisionnement, transport et mobilité, empreinte écologique ou encore politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Autant de paramètres sur lesquels les entreprises peuvent marquer la différence et le revendiquer. Mais comment le mesurer ?
Focus sur les critères ESG
Ces facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance sont des éléments d’analyse qui portent un objectif clair : permettre d’évaluer la prise en compte du développement durable et des enjeux de long terme dans la stratégie d’une entreprise (d’un secteur ou d’un titre financier). Ils aident donc à déterminer son engagement et sa contribution pour un avenir plus durable. Et cela dans différentes dimensions. Mieux : les critères ESG ont pour vocation d’offrir des données objectives capables d’élargir et d’enrichir l’analyse des performances de l’entreprise à long terme. Les faits semblent en effet prouver que celles qui intègrent de bonnes pratiques ESG font preuve d’une grande résilience, voire de meilleurs résultats financiers.
Derrière les critères ESG ?
L’analyse des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance est fondée sur une série d’éléments mesurant l’impact direct ou indirect de l’activité de l’entreprise :
- Les aspects environnementaux visent entre autres la mesure des émissions de gaz à effet de serre ; la consommation énergétique ; le recyclage des déchets ; ou encore l’empreinte écologique (eau, carbone, etc.).
- Les aspects sociaux (ou sociétaux) portent sur les relations de l’entreprise avec l’ensemble des parties prenantes : collaborateurs, clients, fournisseurs et partenaires. Mais aussi la qualité du dialogue social ainsi que la diversité au sein de l’organisation. L’analyse se concentre également sur l’éthique et le respect des droits humains et des normes internationales du travail.
- Les aspects de gouvernance sont relatifs au modèle de direction, de gestion et d’organisation de l’entreprise : les relations avec les actionnaires et le conseil d’administration (et sa féminisation), mais aussi le socle de valeurs, les rapports hiérarchiques, la transparence de la rémunération des dirigeants et de la prise de décision, la gestion des risques ou encore la lutte contre la corruption.
Un outil de prise de décision
Ce n’est donc pas un hasard si les critères ESG font désormais partie intégrante de l’analyse holistique d’une entreprise, au même titre que les rapports financiers. Dans ce sens, ils constituent une aide importante à la prise de décision des investisseurs ou des financeurs. Un moyen d’évaluation des performances de l’entreprise qui sollicite une injection de fonds ou demande un crédit. Les critères ESG sont désormais incontournables pour garantir la prise en compte réelle des aspects durables — et dépasser ainsi les pièges du greenwashing — alignés sur les objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU.
Si leur prépondérance augmente, c’est parce que les facteurs ESG ne sont plus perçus comme une mesure accessoire. Au contraire : ils sont aujourd’hui considérés par les investisseurs comme une « garantie » pour assurer des rendements intéressants et atténuer les risques, puisqu’ils permettent d’éclairer sur la performance financière à long terme. En effet, de plus en plus d’acteurs excluent de s’associer ou de soutenir des entreprises qui ne tiennent pas compte des traités internationaux, polluent ou véhiculent une image négative. Tant pour des raisons de risque financier que de réputation.
Et vous : où en êtes-vous dans l’intégration des critères ESG dans votre entreprise ?
vous accompagnent tout au long de votre transition durable.
N’hésitez pas à prendre contact avec eux !
08.01.2020
5 étapes pour un business model plus durable
Toutes les entreprises se trouvent face à un impératif : embrasser la voie de la durabilité. La transition est indispensable pour répondre aux enjeux actuels et à venir. Reste à savoir quelle route emprunter…
Une expérience n’est pas l’autre. Chaque entreprise possède ses spécificités et son histoire. Son parcours et ses ambitions. Il n’existe donc pas de route unique vers la mutation durable. Cela dépend entre autres de votre degré d’éveil à la durabilité. Mais où que vous soyez, la transition vers un modèle économique « soutenable » est un passage obligé pour s’inscrire dans le monde de demain. Comme dans tout processus de transformation, la volonté de changer est la première marche. Il faut ensuite se mettre en mouvement, avancer pas à pas et franchir les paliers successifs… sans tarder ! Quelles sont les grandes étapes de votre parcours vers la durabilité ? Quelles questions se poser ? Quels bénéfices à la clé ?
1. PRENEZ CONSCIENCE DES ENJEUX
« Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas », écrivit Lao-Tseu. Cette première impulsion est cruciale. Un électrochoc indispensable pour réaliser que la société bas carbone est à nos portes et que votre entreprise doit trouver sa place dans cette évolution globale. C’est-à-dire éviter les risques potentiels et saisir les opportunités qui se profilent à l’horizon. Comment vous préparez-vous à ce futur ? Quel est le degré de sensibilisation aux défis climatiques au sein de l’entreprise ? La transition durable est-elle un enjeu stratégique ? Autant de questions qui permettent d’évaluer la maturité « durable » de la structure…
Se mettre en mouvement grâce à la connaissance
Vous prenez conscience des enjeux et vous avez la volonté d’agir… Mais demeure une question : par où commencer ? L’information est un élément clé de cette première phase de sensibilisation :
- Regardez ce qui se passe autour de vous et au sein de votre réseau (y compris chez vos concurrents) ;
- Participez à des évènements (de plus en plus nombreux sur ces thématiques) : business games, ateliers RSE, conférences, etc. ;
- Partagez l’information au sein de l’entreprise : intégration de la durabilité dans l’offre de formation, communication interne, etc.
2. FAITES UN DIAGNOSTIC COMPLET
L’étape suivante consiste à réaliser une analyse éclairée de votre entreprise afin de mesurer les impacts et les risques liés à vos activités :
- Quels sont les risques physiques et économiques liés aux enjeux environnementaux : approvisionnement en matières premières, conséquences climatiques, etc. ?
- Avez-vous effectué un audit énergétique ?
- Quelle est votre empreinte carbone ? Votre niveau de production de déchets ? Etc.
- Avez-vous engagé une équipe ou un responsable de la durabilité ?
- Vos procédures internes sont-elles adaptées ?
- Que pensent vos employés, vos clients ou vos fournisseurs de ces questions ? Etc.
L’objectif est de faire une cartographie complète de votre entreprise et de visualiser les forces et les faiblesses, les volets à améliorer ou à transformer.
3. ENGRANGEZ DES QUICK WINS
Vous commencez à transformer votre entreprise : des investissements pour réduire votre empreinte écologique, l’amélioration de votre gestion des déchets, la mise en œuvre d’une politique de Responsabilité sociale d’entreprise (RSE), le renforcement du bien-être de vos employés ou encore l’isolation de votre bâtiment. Des mesures qui ont pour objectif de minimiser les impacts et les risques liés à vos activités… mais elles vous permettent également de récolter des bénéfices à court terme. Des gains qui sont souvent en périphérie de votre core business et ne sont donc pas directement en lien avec votre modèle d’affaires, mais qui sont bon à prendre : des économies financières liées à une réduction de la consommation énergétique, le recrutement de talents attirés par votre politique RSE ou encore de nouveaux clients séduits par votre image « durable ».
4. TRANSFORMEZ « DURABLEMENT » VOTRE BUSINESS MODEL
Cette étape peut s’avérer plus longue, car vous vous attaquez à votre core business. C’est votre révolution copernicienne. Mais elle est cruciale : vous vous apprêtez à changer de paradigme. Vous devez donc repenser complètement votre manière de faire des affaires, voire développer de nouveaux pans d’activités.
- Quelle est votre raison d’être ?
- Votre business model tient-il compte de la durabilité ?
- Quelles sont les alternatives existantes dans votre secteur ?
- Comment produisez-vous ? Pourriez-vous fonctionner différemment ?
- Quel est le positionnement de vos produits sur le marché ? Quelles sont les alternatives ? Etc.
Toutes ces questions exigent de réfléchir out of the box et d’intégrer au cœur de votre business model deux dimensions essentielles : l’humain et la planète.
5. DEVENEZ UNE ENTREPRISE COLLABORATIVE ET INNOVANTE
Plus que la dernière marche, il s’agit d’une notion à intégrer à tous les « étages » de votre parcours de transition. L’objectif ? Insuffler dans les mentalités et les habitudes de l’entreprise de nouveaux modes de fonctionnement : open innovation, ouverture aux start-up, cocréation, intelligence collective, gouvernance durable à tous les niveaux, etc. Plus tôt vous intégrez ces dimensions à votre démarche, plus tôt vous pouvez en tirer des avantages, tels que la neutralisation de nombreux risques (juridiques, commerciaux, etc.) qui pèsent sur les entreprises. Mieux : vous vous positionnez favorablement sur le marché et gagnez en crédibilité. Vos clients, vos fournisseurs, vos employés et vos partenaires vous perçoivent comme un acteur de la durabilité… et vous avez tout à y gagner. C’est ce qu’on appelle du soft cash… duquel découle du hard cash : à savoir des réels bénéfices pour vos affaires (nouveaux marchés, nouveaux clients, etc.).
Le train de la durabilité est en marche… sautez dedans !
Votre organisation aussi est-elle engagée sur la voie de la durabilité ?
14.01.2020
Le partenaire central de votre révolution durable ? Votre banque !
Pourquoi une banque s’investit-elle dans la durabilité ? La question est légitime… et la réponse évidente : les entreprises — ses clients — ont plus que jamais besoin de soutien pour réussir leur transition.
« Il n’y a pas de plan B, car il n’y a pas de planète B », déclarait Ban Ki-moon lors de la semaine du climat de New York en septembre 2014. La formule de l’ancien Secrétaire général des Nations unies a marqué les esprits, car elle résume parfaitement la situation : agir est la seule issue. Un impératif qui exige que tout le monde apporte sa pierre à l’édifice du changement. La banque n’échappe pas à la règle ! D’abord pour une raison évidente : ses clients sont précieux et elle doit veiller à ce qu’ils soient performants… et le restent. Un intérêt commun, essentiel pour aider les entreprises à emprunter la voie de la durabilité. Mais le rôle de la banque va bien au-delà.
Une position… au cœur du « jeu »
Selon l’ONU, la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030 exigera des investissements colossaux : de l’ordre de 5 000 à 7 000 milliards de dollars par an. Qui mieux que le secteur financier pour relever ce défi ? La banque « connaît » et soutient l’ensemble des acteurs en présence : du secteur public à la santé et à l’enseignement, en passant par les PME, les corporate, les start-up, les ONG ou encore les particuliers. Positionnée au cœur de l’activité économique, elle est plus que jamais un moteur fondamental du changement. Sa mission ? Soutenir la transformation de l’ensemble de la société, et en particulier la transition durable des entreprises, afin de contribuer à répondre aux enjeux environnementaux.
Trois piliers de la banque « durable » :
- L’expertise : une banque ce ne sont pas que des banquiers !
- partager la connaissance et la compréhension autour de la durabilité, du changement climatique, des défis environnementaux, de la transition écologique, etc. ;
- Insuffler, soutenir et conduire la réflexion stratégique au sein des structures ;
- Comprendre et analyser la faisabilité technique d’un projet dans n’importe quel domaine d’activité : nouvelles technologies, décarbonisation, sciences de la vie, économie circulaire, smart cities, etc.
- Des moyens : financer le changement et son accélération
- Du réseau : à la recherche d’un partenariat ?
- Le partage d’expériences ;
- La diffusion de bonnes pratiques ;
- La mise en lumière de solutions innovantes… contribuant in fine à rendre certaines nouvelles technologies « durables » accessibles financièrement au plus grand nombre ;
- L’amplification de projets qui fonctionnent correctement à une petite échelle pour les aider à franchir un cap et atteindre une échelle supérieure.
L’action de la banque passe inévitablement par le conseil. Au fil des années, elle s’est dotée de véritables experts du « durable »… Leur rôle ? Sensibiliser les entreprises sur la nécessité de se transformer et les accompagner tout au long de la transition. En d’autres mots ? Aider les dirigeants à comprendre les risques de l’immobilisme et à saisir les opportunités issues d’une mutation optimale de business model. Une mission qui s’adapte forcément aux besoins et à la maturité de chaque acteur économique. Cela se traduit entre autres par :
La voie de la durabilité exige des investissements importants… La banque est le partenaire idéal pour prendre en compte la dimension financière de toute réflexion stratégique. Après un accompagnement orienté sur les aspects « techniques », le rôle de la banque consiste donc à valider les perspectives établies et à appuyer les dirigeants dans la modélisation du volet financier. Autrement dit : quels moyens sont nécessaires ? Quels sont les véhicules de financement adaptés ? Une approche qui garantit un maximum de sécurité à la transition, puisque les risques, notamment financiers, sont pris en compte dès le départ. Une autre mission importante de la banque ? Jouer un rôle de catalyseur pour aider les entreprises — déjà avancées dans leur processus durable — à passer à une échelle supérieure.
Le réseau est l’une des clés de la transition durable… Et qui mieux que la banque pour connecter tous les acteurs entre eux ? Le networking est donc fondamental sur plusieurs points :
vous accompagnent tout au long de votre transition durable.
N’hésitez pas à prendre contact avec eux !
21.01.2020
Seul on ne change rien, ensemble on avance vers un monde durable !
Franchir le cap de la durabilité ? Une nécessité pour toutes les entreprises. Mais par où commencer ? Quel que soit votre stade d’avancement… sollicitez votre réseau pour nourrir et inspirer votre démarche !
Les enjeux environnementaux et climatiques imposent l’émergence de nouveaux modèles économiques. Plus durables et tenant compte d’autres paramètres (ressources naturelles, empreinte carbone ou encore impact sur la biodiversité et sur l’humain). Un impératif de « durabilité » qui pose une série de défis aux entreprises… Comment se préparer et agir ? Quels pas entreprendre pour se lancer ? Quelles solutions (financières ou non) envisager ? Comment transformer mon business model ? Quelles sont les évolutions de mon secteur d’activités ? Quels sont les risques à maîtriser et les opportunités à saisir ? Qu’attendent mes clients et mes partenaires ? Autant de questions qui émaillent le parcours sustainable et qui trouvent écho au sein de chaque entreprise… quel que soit son degré de maturité. C’est pourquoi le partage de savoirs et d’expériences est l’une des clés d’une transformation réussie !
Le déclic grâce au réseau
Où que vous en soyez dans votre démarche de transition durable, il est crucial de s’investir dans « une communauté », de prendre part à des évènements et de développer ses relations. Au contact d’autres entrepreneurs, de dirigeants ou d’experts, vous posez les jalons de votre action :
- Éveillez votre conscience à l’urgence et à la nécessité d’un changement de paradigme : un premier pas indispensable pour entamer la transformation de votre organisation ;
- Étoffez vos acquis en matière de durabilité à travers différents sujets : la biodiversité, le plastique dans les océans, la fonte des glaces, le dérèglement climatique, l’empreinte eau, l’avenir bas carbone, les énergies renouvelables, l’économie circulaire, etc. ;
- Améliorez et mettez à jour vos connaissances à plusieurs niveaux : les évolutions de votre marché (clients, concurrents, innovations, etc.), la réalité d’autres secteurs, les parcours « références » d’autres entreprises ou encore les nouveautés réglementaires ;
- Identifiez plus efficacement les risques de l’immobilisme pour vos activités et les opportunités liées à la mutation de votre modèle d’affaires.
Place à l’inspiration !
« Les petits ruisseaux font les grandes rivières » : un proverbe adapté pour aborder les enjeux sociétaux et environnementaux. C’est la conjugaison des actions individuelles qui mènera à un changement durable… De plus en plus d’acteurs économiques l’ont compris et misent sur l’open innovation, la cocréation et la coopération. Preuve que le chemin de la « durabilité » doit être parcouru ensemble ! Chaque acteur – entreprises, pouvoirs publics et particuliers – doit apporter sa pierre à l’édifice. Le networking est donc un atout essentiel pour rencontrer des dirigeants et des entrepreneurs qui partagent les mêmes préoccupations, questions ou doutes. Ou d’autres qui se trouvent à une phase plus avancée de leur parcours de transformation. Le réseau est le lieu idéal pour générer du débat, faire émerger de nouvelles idées, renforcer les échanges, créer de l’émulation, stimuler les synergies ou encore partager de bonnes pratiques. Last but not least, vous trouverez peut-être votre futur partenaire technologique au cœur du réseau…
Un rôle d’accélérateur
Le réseau est plus qu’un point de rencontre et d’échange. C’est également une « caisse de résonnance ». Un catalyseur capable de faire converger les initiatives, mais aussi de mettre en lumière des entreprises et des solutions innovantes en matière de durabilité. La mise à l’honneur et l’amplification de ces nouveaux projets contribuent inévitablement à leur déploiement. Comment ? Une communauté efficace peut, par exemple, appuyer l’adoption d’une technologie émergente par un nombre plus important d’acteurs, créant un cercle vertueux : davantage d’early adopters, synonymes de stimulation du marché, poussant les prix vers le bas. En profitant de cet effet de levier, les initiatives exemplaires peuvent également envisager de passer à une échelle supérieure…
Au cœur du réseau ? Votre banque
Reste une question clé : comment s’intégrer dans un vaste et riche réseau ? Votre banque est un partenaire clé, grâce à sa position centrale au cœur de l’écosystème économique et à sa connaissance des entreprises (scale-up et start-up innovantes, universités et secteur public) en Belgique et à l’étranger.
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