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14.07.2020

#TousEnsemble Carmeuse, une entreprise internationale au service de la collectivité

Même au plus fort de la crise du coronavirus, le numéro 2 mondial de la production de chaux et de ses produits dérivés n'a jamais cessé ses activités. Parce que ses clients, du secteur des soins de santé à celui de l'alimentation, avaient besoin de son aide. Et parce que la chaux est un élément essentiel de notre vie quotidienne.

« Nous sommes fiers d'avoir pu aider les Belges à affronter la crise. »
Yves Schoonejans, CFO Carmeuse

La pierre calcaire est sans doute l'une des richesses naturelles les plus méconnues de notre pays. Pourtant, son exploitation, principalement dans les provinces du Hainaut, de Liège et de Namur, permet à la Belgique de compter quelques-uns des plus gros producteurs mondiaux de chaux.

Carmeuse en fait partie grâce à ses 80 sites de production répartis aux quatre coins du monde.

La chaux est partout

En raison de ses caractéristiques chimiques particulières, la chaux – ou ses produits dérivés – est utilisée dans de nombreux secteurs. Comme la sidérurgie, la construction, le pharmaceutique, le traitement de l'eau potable ou l'agroalimentaire, pour n'en citer que quelques-uns.

La chaux est donc omniprésente dans notre quotidien. Elle intervient dans la fabrication de nombreux produits (acier,  papier, verre, cuir, crème glacée, lait en poudre, fromage, savon, colle, sucre en morceaux, etc.) et dans de nombreux processus industriels, notamment dans le secteur de l’environnement (traitement de fumée, traitement de l’eau, etc.). Liste non exhaustive!

Aider les Belges à traverser la crise

« Dès le début de la crise, les autorités gouvernementales ont reconnu Carmeuse comme une entreprise essentielle, car elle répond à des besoins vitaux de la population », indique Yves Schoonejans, directeur financier de l'entreprise internationale.

« Par conséquent, depuis la mi-mars, aucune de nos usines n'a stoppé ses activités. Et pour cause : les produits dérivés de la chaux interviennent aussi dans la composition de l'eau de javel, dans l'élaboration des détergents contenus dans les gels désinfectants, et dans la création de matériel médical comme les poches de sang ou les gants de protection. Chez Carmeuse, nous sommes donc très fiers d'avoir pu aider les Belges à affronter la crise. »

L'effet néfaste de la crise

Comme de nombreuses autres entreprises restées actives tout au long du confinement, Carmeuse a malgré tout ressenti l'impact de la crise.

« Depuis la mi-mars, nos deux priorités ont été de garantir la santé de nos 4.500 collaborateurs et d'assurer la livraison de nos produits à tous nos clients dont l'activité était considérée comme vitale par le gouvernement. Et nous y sommes parvenus », précise Yves Schoonejans.

« Toutefois, compte tenu de la réduction de l'activité de nombreux secteurs, nous avons connu une forte diminution de nos volumes de vente. Particulièrement au mois de mai, en phase avec l'évolution de la pandémie en Amérique du Nord où se situent les deux tiers de notre activité. »

'BNP Paribas Fortis a parfaitement joué son rôle'

Mais le géant du calcaire est un roc. Une entreprise solide qui a su faire face à cette situation inédite en réussissant à maîtriser ses coûts. Sans devoir demander de moratoire à ses partenaires financiers.

« Cela n'a pas été nécessaire, en effet », confirme Yves Schoonejans, « mais nous devons néanmoins une fière chandelle à BNP Paribas Fortis qui a contribué activement, au plus fort de la crise, au renouvellement de notre crédit bancaire pour les cinq prochaines années. La banque a parfaitement joué le rôle de coordinateur avec nos autres partenaires bancaires, et notre refinancement a été accordé à de très bonnes conditions malgré un contexte global peu favorable. »

Un partenariat historique

« Notre relation avec BNP Paribas Fortis n'est pas une relation classique banque-client, c'est un véritable partenariat », poursuit Yves Schoonejans.

« Sans préjuger de l'évolution de la pandémie dans les prochains mois, nous sommes convaincus que nous pouvons et pourrons faire appel à BNP Paribas Fortis si nos besoins financiers évoluent. »

D'autant que, même si les deux crises ne sont pas vraiment comparables, les deux partenaires en ont déjà surmonté une ensemble, il y a douze ans. « Fortis Banque et BNP Paribas Belgique faisaient déjà partie de nos principaux banquiers, en 2008. Leur fusion, à l'époque, a permis d'encore renforcer notre relation : malgré la baisse de notre carnet de commande, due au contexte économique que l'on sait, BNP Paribas Fortis n'avait pas cherché à se délester de ses engagements envers nous et avait déjà joué à fond son rôle de partenaire. Cet épisode a évidemment renforcé le respect et la confiance que nous ressentons l'un envers l'autre. »

Confiance en l'avenir

Après un mois de mai difficile, Carmeuse envisage l'avenir avec optimisme relatif, même si les conséquences économiques mettront de nombreux mois à être totalement digérées.

« Vu l'évolution de la pandémie en Europe, le secteur industriel reprend progressivement ses activités. Je pense donc que le plus dur est derrière nous. Nous sommes heureux d'avoir réussi à assumer notre responsabilité vis-à-vis de nos clients et de tous nos concitoyens, et mettrons un point d'honneur à continuer de le faire », conclut Yves Schoonejans.

 

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14.07.2020

#TousEnsemble Lites et BNP Paribas Fortis ont réussi à dompter la tempête

Matériel de tournage, caméras et installations d’éclairage : à Vilvorde, Lites propose la crème de la crème. En 2019, l’entreprise a investi 23 millions d’euros, notamment dans un énorme studio aquatique. Mais en raison de la crise, ses activités ont dû être interrompues. Heureusement, Lites a pu compter sur un crédit pont et un report de paiement.

« Peu à peu, nous voyons à nouveau entrer les demandes, et nous avons déjà quelques productions au planning. »
Wim Michiels, CEO Lites

Le tout nouveau studio aquatique de Lites est unique au monde. « Nous pouvons réaliser toutes les prises de vue aquatiques imaginables, aussi bien sous l’eau qu’à la surface », explique Wim Michiels, caméraman sous-marin et CEO de l’entreprise. « Tempêtes, tsunamis, vagues de plusieurs mètres, eaux cristallines, troubles ou colorées, décors sous-marins de 20 tonnes, brume, pluie, vent : d'un point de vue technique, nous pouvons réaliser les projets les plus fous. Le tournage aquatique demande une énorme préparation, d’où son coût particulièrement élevé. En plus, pour le tournage dans un studio en plein air, le réalisateur dépend des conditions météorologiques, et l’eau est nettement plus froide. Dans notre studio aquatique, nous pouvons travailler avec des temps de préparation très limités du fait que tous les effets aquatiques y sont incorporés. Cela offre plus de possibilités d’un point de vue créatif, et c’est beaucoup plus rentable. »

Une tempête inattendue

« Après les lourds investissements consentis l'an dernier, et le lancement réussi de l’entreprise, 2020 aurait dû être une superbe année pour Lites et son studio aquatique », commente Sara Smets, chargée de relation chez BNP Paribas Fortis. « Mais c’était compter sans la crise du coronavirus, qui a provoqué une tempête tout à fait inattendue. »

Au calendrier de Lites figuraient dix productions pendant les six premiers mois de cette année. En mars, elles ont forcément dû être suspendues. « J’ai immédiatement pris contact avec Sara afin d’examiner de quelle manière la banque pouvait nous sortir de cette situation difficile », raconte Wim Michiels.

« Pour le moment, un crédit pont pour la première période et un report des remboursements de capital jusqu’à fin octobre nous permettent de maintenir la tête hors de l’eau. »

« Peu à peu, nous voyons à nouveau entrer les demandes, et nous avons déjà quelques productions au planning pour les prochains mois. Cependant, étant donné que nous ne travaillons pas encore à pleine capacité, une partie de nos collaborateurs est toujours partiellement au chômage technique. »

Evaluation continue

« Sara Smets, notre chargée de relation chez BNP Paribas Fortis, connaît parfaitement les rouages de Lites », poursuit Wim Michiels. « Elle suit les événements de très près et nous apporte toujours une solution adéquate. À chaque fin de mois, je lui fournis un aperçu de la situation et de nos perspectives, afin que nous puissions évaluer où nous en sommes financièrement. Nous espérons retrouver rapidement un niveau de revenus suffisant, mais nous nous trouvons dans une situation très difficile. Cela dit, je suis très satisfait des mesures proposées par le gouvernement et les banques. »

 

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14.07.2020

#TousEnsemble Novolab fournit du matériel de protection et de test contre le coronavirus

L'entreprise familiale Novolab (Grammont) est un distributeur indépendant de matériel de laboratoire. Avec la pandémie, elle peinait à répondre à la forte demande de masques, gants jetables, écouvillons et autre matériel de test. Novolab s'est décarcassé pour que le matériel nécessaire soit livré à temps en Belgique.

« Une série de choses étaient devenues introuvables en Europe. Le matériel de test et les produits nécessaires étaient devenus une denrée particulièrement rare. »
Bram Gernaey, directeur Novolab

« Nous travaillons généralement avec des fabricants européens, mais cette fois-ci, nous nous sommes adressés à l'Asie afin de pouvoir satisfaire la demande de matériel de protection", explique Bram Gernaey, directeur de Novolab. "Suite à la pandémie, une série de choses étaient devenues introuvables en Europe. Le matériel de test et les produits nécessaires pour analyser les échantillons prélevés étaient devenus, eux aussi, une denrée particulièrement rare. »

Pour parer aux besoins les plus urgents en masques, l'entreprise a mis elle-même au point un petit filtre à insérer dans un masque en coton. « Nous l'avons fait certifier et il se vend comme des petits pains", poursuit Bram Gernaey. "Nous avons commercialisé le filtre nous-mêmes, en collaboration avec quelques entreprises locales. Nos stocks devraient être reconstitués pour l'été. »

Une bulle d'oxygène

Quand, en pleine crise du coronavirus, Novolab a soudain dû acheter d'énormes quantités de matériel de protection et de test, l'entreprise a eu besoin de fonds à brève échéance afin de tout financer à temps. « Nos clients – des institutions publiques, pour la plupart – n'ont pas l'habitude de payer leurs factures à l'avance », précise Bram Gernaey. « Nous sommes donc allés frapper à la porte de BNP Paribas Fortis. »

« La banque a pu nous dépanner très vite avec un crédit à tempérament, ce qui nous a insufflé l'oxygène financier nécessaire pour régler les paiements anticipés aux fabricants étrangers. Sans cette ligne de crédit, nous n'aurions pas réussi. »

100% digital

« La demande de crédit a été entièrement traitée par voie numérique, à distance », ajoute le chargé de relation Renzo Struyve. Il est rattaché au Business Centre Connect de Courtrai et s'est entretenu avec Bram Gernaey par Webex exclusivement. « Il y a environ un an, la banque a créé le concept 'BC Connect' pour répondre aux besoins des clients en matière de digital. Comme aucune des deux parties ne doit se déplacer physiquement, nous pouvons tout boucler beaucoup plus vite. Cette manière de travailler a clairement prouvé son utilité pendant la crise du coronavirus. »

 

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14.07.2020

#TousEnsemble Chacon croit en son avenir et redémarre de plus belle

La crise prend Chacon SA en pleine croissance. Pour le leader européen de la maison intelligente, c'est un accident sérieux. "Mais ce n'est que cela : un accident", explique Frédéric Pont, Managing Director de Chacon et CFO du Groupe AwoX. "Nous sommes debout et repartons de l'avant. Entre autres grâce au professionnalisme de BNP Paribas Fortis, notre banque principale."

« Nous continuons à avancer, avec une équipe motivée et qui a su faire face aux difficultés. »
Frédéric Pont, Managing Director Chacon

Le début du confinement tombe à un moment délicat pour Chacon, une entreprise wavrienne (Brabant wallon) appartenant au groupe Awox, leader européen dans le secteur de la maison intelligente. En effet, à l'heure où la foudre s'abat en Europe, les fournisseurs chinois rouvrent l'un après l'autre, de l'autre côté du globe. Le matériel attendu depuis plusieurs mois afflue en Belgique. L'activité bat son plein.

« Nous avons entamé l'année 2020 avec le vent dans le dos, et une croissance de presque 10% de nos ventes sur les premiers mois », se rappelle Frédéric Pont, Managing Director. Mais mi-mars, nos distributeurs – principalement des magasins de bricolage et des grandes surfaces – ferment brutalement l'un après l'autre, dans la plupart des douze pays où nous sommes actifs. »

La priorité

Mais avant de penser stock ou chiffre d'affaires, il y a une grande priorité : « Les hommes et les femmes, bien sûr ! Durant les premiers jours de crise, c'est la sécurité qui prime. Nous avons mis en place une cellule de crise pour organiser le télétravail lorsque c'était possible et évaluer ce que les lois sociales des différents pays où nous avons des salariés permettaient en termes de chômage partiel et/ou temporaire. Nous avons ensuite négocié avec des fournisseurs afin de décaler des livraisons et négocier des délais de paiement, nous avons continué nos efforts de R&D sur les nouveaux produits connectés et fait ce qu'il fallait pour qu'au moment venu, notre chaine de production puisse redémarrer. Et nous avons contacté notre banquier. Nous avions besoin de lui. »

L'accident

Du 13 au 30 mars, le chiffre d'affaires de Chacon est proche de 0. Pourtant, Frédéric Pont reste optimiste. « Notre entreprise est profitable, en croissance, avec une très belle offre », insiste-t-il. « La crise nous touche de plein fouet. Mais aussi dure soit la situation, ce n'est qu'un accident. Nous allons faire face et repartir de l'avant. Nous avons un besoin de trésorerie pour passer le cap et redémarrer aussi vite que possible. BNP Paribas Fortis, notre banquier principal en Belgique, le comprend parfaitement. »

Rapidement, la banque propose à Chacon un moratoire de six mois sur ses échéances. « Pour notre client, c'est une première bouffée d'oxygène », raconte Sébastien Wéron, chargé de relation. « Mais l'entreprise a besoin d'une nouvelle ligne de crédit, pour continuer à financer son activité en attendant le retour des beaux jours. »

Une entreprise saine malgré la crise

Frédéric Pont et ses équipes soumettent différents scénarios à la banque, du pire au plus favorable. « Sur base de ces éléments, nous aurions aimé dire oui tout de suite à notre client car l'entreprise est saine et le dossier solide », reprend Sébastien Wéron. « Mais il nous manquait un élément-clé : la certitude d'obtenir des garanties de l'Etat belge et de la Région wallonne. Notre client a compris notre contrainte et apprécié notre transparence sur la question. Quelques semaines plus tard, Chacon est devenue l'une des premières entreprises de Wallonie à bénéficier d’un nouveau crédit avec le cumul de ces deux garanties. »

Des solutions créatives et adaptées

« BNP Paribas Fortis s'est montré réceptif et réactif », reconnait Frédéric Pont.

« La banque a fait son boulot. Elle était là quand nous en avions besoin. Et ce n'est pas la première fois qu'elle nous propose des solutions adaptées et créatives. Je pense notamment à un contrat de factoring, qui nous a récemment permis de diviser nos crédits à court terme par plus de trois. Je tiens vraiment à féliciter nos interlocuteurs pour leur professionnalisme. »

Et demain ?

Chacon n’a jamais fermé ses portes et étape par étape, son activité est repartie crescendo. Et Frédéric Pont se montre aussi optimiste que philosophe : « Nous continuons à avancer, avec une équipe motivée et qui a su faire face aux difficultés, avec du retard sur nos plans certes, mais toujours debout. Nous poursuivons notre mission et sommes confiants dans nos forces. » 

Chacon et le groupe Awox

Chacon est une entreprise wavrienne (Brabant wallon) qui fait partie du groupe français Awox depuis 2018. Elle vend du matériel électrique (câbles, rallonges, interrupteurs, etc.) et de vidéo-sécurité, et commercialise un standard de connexion universelle par radiofréquence 433Mhz et WiFi (DIO Connect) permettant de gérer sa maison de manière intelligente. Ensemble, avec les marques Awox (spécialisée dans les lumières connectées) et Cabasse (leader dans le son haut de gamme et connue notamment pour son enceinte Pearl), le groupe constitue aujourd'hui le leader européen de la maison intelligente.

 

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14.07.2020

#TousEnsemble À la distillerie Rubbens, le genièvre a fait place à l’alcool désinfectant

Lorsque la crise du coronavirus a éclaté, la distillerie Rubbens a mis de côté la production de genièvre pour se concentrer sur celle d’alcool désinfectant. Une réorientation drastique.

« Lorsqu’un premier hôpital nous a demandé si nous pouvions livrer 1.000 litres d'alcool désinfectant, tout est allé très vite. »
Hendrik Beck, Rubbens

Située à Wichelen, en Flandre orientale, la distillerie Rubbens est connue pour son genièvre et son commerce de vin et porto. Cette véritable entreprise familiale est dirigée par Dirk Beck et son fils, Hendrik.

« Lorsque mon père a repris la distillerie Rubbens, il y a douze ans, j’étais encore aux études. J’ai rallié l’entreprise il y a sept ans », explique Hendrik Beck. « Et depuis l’année dernière, mon épouse est responsable des visites de groupes à la distillerie, de la brasserie et des salles de fêtes : il s’agit donc d’une véritable entreprise familiale. »

Tous ensemble, chez Rubbens aussi

« Une semaine après le début du confinement, j’ai vu sur Internet qu’une petite distillerie britannique transformait son alcool en désinfectant », poursuit Hendrik Beck. « Lorsqu’un premier hôpital nous a appelés, peu de temps après, pour savoir si nous pouvions livrer 1.000 litres d'alcool à friction, tout est allé très vite. 'Il faut aller de l'avant' : cette devise de ma défunte grand-mère résume plutôt bien la philosophie de notre entreprise. Aujourd'hui, nous produisons 20.000 litres d'alcool désinfectant par semaine pour aider nos concitoyens à se protéger contre l’ennemi public numéro un. »

« La devise 'tous ensemble' mise en avant par BNP Paribas Fortis s’applique aussi chez Rubbens », affirme Hendrik Beck avec fierté. « Les premiers jours, nos représentants ont aidé à remplir les bidons. Le personnel de notre brasserie a pris en charge la mise en bouteilles, et nos employés de bureaux sont eux aussi sortis de leur zone de confort. Mais nous devons aussi une fière chandelle aux autorités publiques : des gens se sont même affairés un dimanche après-midi pour nous aider à rassembler les documents nécessaires. »

'Notre banque a voulu nous aider'gra

« Tout de suite, BNP Paribas Fortis s'est montré prêt à nous aider. Notre banque a toujours démontré sa confiance, à 100%, dans toutes nos sociétés et filiales, et a de nouveau fait preuve d’une grande flexibilité, de beaucoup d'expertise et de son orientation client. Dès le début de la crise du coronavirus, j’ai été contacté par notre chargée de relation, qui voulait savoir si elle pouvait nous aider, d’une manière ou d’une autre. C’était très rassurant. »

Cette chargée de relation, c'est Stephanie Salomez (Business Centre Connect, Anvers). « Lorsque la crise a éclaté, nous avons immédiatement appelé chacun de nos clients », explique-t-elle. « Hendrik Beck m’a parlé de leur réorientation rapide et de l’énorme demande en alcool désinfectant. Il a demandé si la banque pouvait financer son versement anticipé à l’impôt des sociétés. Nous avons directement donné notre accord afin que Rubbens puisse continuer à affecter ses fonds propres à son développement. Peu après, l’entreprise a aussi eu besoin d’un camion supplémentaire pour pouvoir livrer toutes les commandes : nous l’avons financé pour que Hendrik Beck puisse garder ses ressources opérationnelles à disposition. »

« Cerise sur le gâteau », ajoute Stephanie avec un large sourire, « notre banque a passé une grande commande d’alcool désinfectant chez Rubbens. C'est Herman De Belder, le Relationship Advisor de notre Business Centre, qui a transmis les coordonnées du client aux personnes responsables, au sein de BNP Paribas Fortis, des mesures liées au Covid-19. Hendrik Beck nous en a été très reconnaissant. Nous avons vraiment une très bonne relation. »

« Nous avons tout de suite validé le financement afin que Rubbens puisse garder ses fonds propres à disposition. »
Stephanie Salomez, Business Centre Connect Anvers, BNP Paribas Fortis

 

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