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29.10.2020

Le premier Hedge vert en Belgique est un fait

BNP Paribas Fortis est la première banque en Belgique à lancer un Hedge vert. Grâce à son Hedge vert, elle permet aux clients d'intégrer en profondeur leurs objectifs durables dans leur gestion d'entreprise.

La durabilité est aujourd'hui ancrée dans la mission de pratiquement toutes les entreprises. Les entreprises prennent de nombreuses initiatives écologiques et financent des investissements durables au moyen de prêts verts. BNP Paribas Fortis va encore plus loin en offrant à ses clients la possibilité de donner un côté durable à la couverture du risque de financement par le biais d'un Hedge vert.

Primeur belge

Filip MoensLa première couverture de taux verte en Belgique est un fait. « Nous sommes heureux et fiers d'avoir pu réaliser cette première avec Katoen Natie en tant que véritables partenaires », explique Filip Moens, responsable Corporate Solutions de la salle des marchés chez BNP Paribas Fortis. « Katoen Natie avait déjà contracté un prêt vert chez nous et souhaitait couvrir le risque de taux d'intérêt en passant d'un taux variable à un taux fixe via ce que l'on appelle un swap de taux d'intérêt. Au lieu d'opter pour une couverture de taux ordinaire, nous y avons lié des conditions vertes supplémentaires. Katoen Natie renforce ainsi son engagement durable. »

Chez Katoen Natie, il s'agissait d'un swap de taux d'intérêt, mais un Hedge vert peut tout aussi bien être appliquée à un risque de change ou d'inflation. De plus, il n'est pas obligatoire d'avoir déjà un prêt vert.

Filet de sécurité durable

Le Hedge vert stimule la durabilité, mais va encore plus loin et prévoit un filet de sécurité vert. Si les conditions prédéfinies ne sont pas remplies, le clientpaieune prime de durabilité. BNP Paribas Fortis ne perçoit pas cette prime elle-même, mais l'investit dans un projet écologique préalablement défini. « Chez Katoen Natie, nous avons par exemple opté pour un projet de plantation d'arbres. L'effet de ce produit est donc double. D'une part, c'est un stimulant pour le client de respecter réellement son engagement écologique. Mais si cela ne fonctionne pas pour l'une ou l'autre raison, la prime supplémentaire payée est affectée à un projet vert. Une situation gagnant-gagnant pour l'environnement », explique Filip Moens.

À la mesure de votre entreprise

« La force de ce produit réside dans son application au sens large », souligne Filip Moens.

« Les entreprises sans prêt vert, qui veulent intégrer davantage de durabilité dans leur culture d'entreprise, peuvent vraiment concrétiser cette ambition grâce au Hedge vert. Les conditions vertes qui y sont liées sont en effet déterminées de commun accord. Tant qu'elles sont suffisamment ambitieuses, réalisables et mesurables, beaucoup de choses sont possibles. Pensez par exemple au fait de passer à 80 % d'énergie renouvelable, de rendre le parc automobile 100 % électrique en cinq ans, ou encore de collecter les détritus lors d'un teambuilding annuel. Les entreprises peuvent définir des conditions qui correspondent parfaitement à leur culture d'entreprise. Il en va de même pour le projet de back-up que nous finançons si les conditions ne sont pas remplies. Là encore, les entreprises peuvent opter pour un projet local qui leur tient à cœur. »

Pas de promesses vaines

Un Hedge vert renforce les projets verts existants et souligne très concrètement un engagement vert actif. C'est donc bien plus qu'une simple question d'image. « Ce produit intègre la durabilité en profondeur dans la gestion de l'entreprise et requiert un engagement sérieux et concret de la part du client », explique Filip Moens. « Il doit vraiment être motivé à agir en faveur de l'environnement. Il convient d'examiner quelques aspects administratifs, comme un rapport d'évaluation annuel et des contrôles externes. Mais avec ce choix vert, le client fait bien la différence. »

BNP Paribas Fortis veut contribuer positivement aux projets et à la croissance des entreprises en tant que véritable partenaire. Le Hedge vert correspond à l'état d'esprit durable actuel des entreprises et s'inscrit parfaitement dans la stratégie de la banque : construire avec les clients un avenir positif, durable et pur.

Prêt à entamer ou à poursuivre votre transition durable ? Envie de savoir si le Hedge vert est fait pour vous ? Votre chargé de relation se fera un plaisir de discuter avec vous des possibilités. Bien entendu, vous pouvez toujours vous adresser à votre personne de contact de Global Markets.
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14.01.2020

Le partenaire central de votre révolution durable ? Votre banque !

Pourquoi une banque s’investit-elle dans la durabilité ? La question est légitime… et la réponse évidente : les entreprises — ses clients — ont plus que jamais besoin de soutien pour réussir leur transition.

« Il n’y a pas de plan B, car il n’y a pas de planète B », déclarait Ban Ki-moon lors de la semaine du climat de New York en septembre 2014. La formule de l’ancien Secrétaire général des Nations unies a marqué les esprits, car elle résume parfaitement la situation : agir est la seule issue. Un impératif qui exige que tout le monde apporte sa pierre à l’édifice du changement. La banque n’échappe pas à la règle ! D’abord pour une raison évidente : ses clients sont précieux et elle doit veiller à ce qu’ils soient performants… et le restent. Un intérêt commun, essentiel pour aider les entreprises à emprunter la voie de la durabilité. Mais le rôle de la banque va bien au-delà. 

Une position… au cœur du « jeu »

Selon l’ONU, la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) à l’horizon 2030 exigera des investissements colossaux : de l’ordre de 5 000 à 7 000 milliards de dollars par an. Qui mieux que le secteur financier pour relever ce défi ? La banque « connaît » et soutient l’ensemble des acteurs en présence : du secteur public à la santé et à l’enseignement, en passant par les PME, les corporate, les start-up, les ONG ou encore les particuliers. Positionnée au cœur de l’activité économique, elle est plus que jamais un moteur fondamental du changement. Sa mission ? Soutenir la transformation de l’ensemble de la société, et en particulier la transition durable des entreprises, afin de contribuer à répondre aux enjeux environnementaux.

Trois piliers de la banque « durable » :

  1. L’expertise : une banque ce ne sont pas que des banquiers !
  2. L’action de la banque passe inévitablement par le conseil. Au fil des années, elle s’est dotée de véritables experts du « durable »… Leur rôle ? Sensibiliser les entreprises sur la nécessité de se transformer et les accompagner tout au long de la transition. En d’autres mots ? Aider les dirigeants à comprendre les risques de l’immobilisme et à saisir les opportunités issues d’une mutation optimale de business model. Une mission qui s’adapte forcément aux besoins et à la maturité de chaque acteur économique. Cela se traduit entre autres par :

    • partager la connaissance et la compréhension autour de la durabilité, du changement climatique, des défis environnementaux, de la transition écologique, etc. ;
    • Insuffler, soutenir et conduire la réflexion stratégique au sein des structures ;
    • Comprendre et analyser la faisabilité technique d’un projet dans n’importe quel domaine d’activité : nouvelles technologies, décarbonisation, sciences de la vie, économie circulaire, smart cities, etc.
  3. Des moyens : financer le changement et son accélération
  4. La voie de la durabilité exige des investissements importants… La banque est le partenaire idéal pour prendre en compte la dimension financière de toute réflexion stratégique. Après un accompagnement orienté sur les aspects « techniques », le rôle de la banque consiste donc à valider les perspectives établies et à appuyer les dirigeants dans la modélisation du volet financier. Autrement dit : quels moyens sont nécessaires ? Quels sont les véhicules de financement adaptés ? Une approche qui garantit un maximum de sécurité à la transition, puisque les risques, notamment financiers, sont pris en compte dès le départ. Une autre mission importante de la banque ? Jouer un rôle de catalyseur pour aider les entreprises — déjà avancées dans leur processus durable — à passer à une échelle supérieure.

  5. Du réseau : à la recherche d’un partenariat ?
  6. Le réseau est l’une des clés de la transition durable… Et qui mieux que la banque pour connecter tous les acteurs entre eux ? Le networking est donc fondamental sur plusieurs points :

    • Le partage d’expériences ;
    • La diffusion de bonnes pratiques ;
    • La mise en lumière de solutions innovantes… contribuant in fine à rendre certaines nouvelles technologies « durables » accessibles financièrement au plus grand nombre ;
    • L’amplification de projets qui fonctionnent correctement à une petite échelle pour les aider à franchir un cap et atteindre une échelle supérieure.

Nos experts du Sustainable Business Competence Centre
vous accompagnent tout au long de votre transition durable.
N’hésitez pas à prendre contact avec eux !
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28.01.2020

Des experts de la durabilité… dans votre banque

Le train de la durabilité est en marche. Pour vous aider à monter à bord ? Le SBCC : un pôle de compétences en business durable au sein de votre banque. Découvrez cette équipe de spécialistes passionnés…

Votre banque est le partenaire clé de la transition durable de votre entreprise. Et pour cause : elle est au cœur de l’activité économique. Une position idéale pour vous conseiller et vous accompagner tout au long de votre parcours. C’est aussi l’acteur capable d’intégrer la dimension financière à votre projet de transformation ainsi que de vous connecter à un vaste réseau. Une mission pluridisciplinaire capitale, portée par des experts… qui sont bien plus que des banquiers !

Le SBCC : un pôle d’experts

Ces quatre lettres désignent le « centre de compétences en business durable » au sein de votre banque. Une équipe totalement dédiée à la durabilité ; composée de dix experts venus d’horizons différents et disposant de compétences complémentaires, mais qui portent une passion et une mission commune : contribuer à la transformation durable de la société. La diversité des profils est l’un des atouts du SBCC : des ingénieurs et des spécialistes en business development qui mettent au service des entreprises…

  • une expertise technique portant sur quatre grands domaines : la décarbonisation, l'économie circulaire, le capital humain et les smart cities ;
  • des connaissances entrepreneuriales approfondies, notamment en matière d’analyse, de changement et de développement de business model ;
  • des expériences et des parcours multiples (communication, secteur financier, change management, etc.) ;
  • une démarche scientifique qui leur permet d’approcher et de creuser tout type de sujet ;
  • une vision claire sur les solutions financières et non financières adaptées à chaque projet ;
  • la capacité de connecter les acteurs entre eux au sein du réseau (organisations interprofessionnelles, entreprises, institutions publiques, ONG, fonds d’investissement thématiques, etc.).

Une vision holistique de la transition

La mutation vers une économie durable est un sujet complexe et multifacette. C’est pourquoi le SBCC l’appréhende de manière globale afin de prendre en compte toutes ses dimensions (financière, humaine, naturelle, technique, etc.). Cette approche holistique est une carte maîtresse de la transition des entreprises… de votre entreprise. Concrètement, l’action du SBCC s’adapte au degré de maturité de chaque projet :

  • En amont :
    • Approcher et engager le dialogue avec tous les acteurs économiques afin d’accélérer leur prise de conscience et les aider à identifier les premiers pas du changement ;
    • Conseiller et accompagner ces entreprises dans leur compréhension du monde de demain… où tout est encore à construire ;
  • En aval :
    • Comprendre (et apprendre avec) les projets innovants portés par des entreprises déjà avancées dans la voie de la durabilité. Des initiatives qui consacrent de nouveaux business models ou de nouvelles technologies et qui gagnent à être soutenues et partagées ;
    • Guider ces projets durables dans leur parcours financier, car ils sont souvent exigeants sur le plan du financement : que ce soit pour initier la transformation ou pour passer à une échelle supérieure.

Une mission… et une passion commune

« Personne ne peut gagner dans un monde qui perd ! » Chaque projet fait donc partie de la solution. Toutes les entreprises doivent se transformer pour faire des affaires de forme plus durable. Un nouveau paradigme… bien compris par le SBCC. Le point de départ de sa mission : construire une compétence sur tous les sujets liés aux enjeux de la durabilité et contribuer à déployer des solutions (financières ou non). Un défi majeur… qu’une banque se doit de relever. L’objectif est clair : insuffler le changement et démontrer que des solutions existent au sein du système actuel. Il est possible de continuer à faire des affaires tout en transformant son secteur d’activité. L’urgence impose de se lancer et de ne pas attendre que le monde change tout seul. Autrement dit ? Anticiper l’avenir et apporter sa pierre à l’édifice d’un avenir plus durable.

 

Prêt à entamer ou poursuivre vos transition durable ?

Prenez contact avec nos experts du SBCC sans plus attendre !

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11.03.2024

« Nous sommes prêts à accélérer la transition des entreprises, y compris celle des PME »

Une bonne performance ESG (Environnement, Social, Gouvernance) devient un facteur de compétitivité. Les PME aussi en sont de plus en plus conscientes. . Une bonne chose, selon Didier Beauvois, Head of Corporate Banking.

Comment expliquez-vous cette accélération de la prise de conscience des PME ?

Avec la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), les sociétés cotées et les sociétés de plus de 250 personnes sont soumises depuis 2022 à des obligations de reporting en matière de performance ESG. Elles prennent donc des engagements vis-à-vis de leurs clients, investisseurs, banques, personnel ou actionnaires. Pour remplir leur cahier des charges ESG, elles privilégient de plus en plus les fournisseurs (souvent de plus petite taille) qui adoptent des pratiques vertueuses et qui sont en mesure de les démontrer. Par ailleurs, les PME seront, elles aussi, soumises à la CSRD à partir de 2026.

La transition est donc devenue un must pour toutes les entreprises ?

Si vous voulez continuer à travailler avec des clients d’une certaine taille, par exemple dans la grande distribution, vous n’avez plus le choix. Une bonne performance ESG devient un facteur de compétitivité. Nous encourageons d’ailleurs toutes les PME à communiquer sur les efforts qu’elles font. Une politique crédible est une garantie de viabilité, car une entreprise vertueuse sera beaucoup mieux positionnée pour attirer les investisseurs ou obtenir de bonnes conditions de financement.

Comment la banque aide-t-elle les PME dans leur transition ?

Forts de l’expérience acquise avec les grandes entreprises, nous sommes prêts à les accompagner à chaque étape. Nous avons l’expertise, les partenaires, et les solutions, que nous rendons peu à peu accessibles aux entreprises de plus petite taille.

Nos chargés de relation peuvent compter sur un large réseau d’experts en interne. Ceux de notre Sustainable Business Competence Centre, par exemple, ou encore ceux du Low-Carbon Transition Group, un réseau de BNP Paribas qui regroupe 200 experts dans le monde pour accompagner nos clients vers le bas carbone.

Comment les accompagnez-vous, concrètement ?

Nos chargés de relations, en collaboration avec nos experts et nos partenaires externes, proposent à nos clients un véritable trajet. Reprenons notre exemple, celui du petit fournisseur du grand acteur de la distribution. Une fois qu’il a compris les risques et les opportunités liés à l’ESG, nous l’aidons à poser le diagnostic – sur quoi peut-il agir ? – et nous le conseillons sur les actions à entreprendre : rendre sa flotte de véhicules moins polluante, améliorer l’efficacité énergétique de ses bâtiments, produire lui-même une partie de son énergie, rendre ses processus de production plus circulaires, adapter sa gouvernance d’entreprise, parvenir à un meilleur équilibre hommes-femmes dans son équipe de management, etc.

Ensuite, nous envisageons ensemble les financements nécessaires pour mettre ces actions en œuvre et lui proposons les solutions les plus adaptées à la situation de l’entreprise, à sa taille et à son secteur. Nous avons développé une large gamme de produits dédiés à la transition, que nous proposons en propre ou via des partenaires.

Pouvez-vous donner quelques exemples ?

Nous proposons des crédits spécifiques, qui permettent de s’équiper en isolants, panneaux solaires, chaudières haute performance ou en véhicules électriques. Les grandes PME peuvent aussi accéder àune ligne de crédit (de minimum 10 millions d’euros) dont le taux d’intérêt est lié à l’atteinte d’objectifs ESG, laquelle est vérifiée par des experts indépendants. Nous avons ainsi financé un producteur de chaux en liant le taux de son crédit à la réduction de ses émissions de CO2 ou encore un gestionnaire de parking, en liant son taux aux émissions de particules fines. Nous mettons aussi en place des solutions de factoring liées à des engagements ESG, et par lesquelles nous finançons le payement des factures de PME de toutes tailles.

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08.03.2024

Les entreprises ont tout intérêt à opter pour l’électrique et la multimodalité

BNP Paribas Fortis est prêt pour la mobilité de demain. Et sa contribution va bien au-delà du leasing de véhicules électriques, avance Laurent Loncke, General Manager Retail Banking et membre du comité exécutif de la banque.

Comment les entreprises peuvent-elles faire de la mobilité l’un des leviers de leur transition ?

« Si on regarde la seule utilisation d’un véhicule, le passage du fuel à l’électrique permet de diviser par quatre les émissions de CO2. Ce changement est plus que jamais encouragé fiscalement dans notre pays. Et dès 2035, les ventes de voitures thermiques seront interdites dans toute l'Union européenne. Qu’il s’agisse de leur propre flotte ou des voitures de société qu’elles proposent à leur personnel, les entreprises ont donc tout intérêt à opter pour l’électrique. Et ce, à côté d’autres formes de mobilité. »

Toutes l’ont-elles bien compris ?

« Aujourd’hui, deux tiers des nouveaux véhicules sont des véhicules professionnels. Dans cette catégorie, 80% des commandes en cours portent sur des véhicules électriques. C’est aussi le cas chez notre partenaire Arval. » 

Une entreprise peut ainsi devenir actrice du changement ?

« Certainement. D’abord parce que les voitures de société alimentent le marché de l’occasion. Avec, à la clé, une démocratisation de la mobilité électrique. Ensuite parce que celui qui opte pour une voiture électrique encourage ses proches à faire de même. Comme l’a révélé notre récente étude Profacts, 85% des détenteurs d’un véhicule électrique sont satisfaits, voire très satisfaits, d’avoir franchi le pas. Mais 42% des Belges restent réticents. La moitié d’entre eux craignent la panne sèche électrique. »

Cette crainte est-elle justifiée ?

« Pas complètement. La plupart des automobilistes souhaitent une autonomie de 500 km pour se sentir à l’aise, même lorsqu’ils ne font que quelques dizaines de kilomètres par jour. Pour autant, développer le réseau de recharge reste absolument nécessaire. Car pour beaucoup, notamment en ville, l’installation d’une borne à domicile n’est pas possible. BNP Paribas Fortis contribue au développement du réseau de recharge, notamment via sa participation dans Optimile. En plus de proposer des solutions logicielles pour la recharge des véhicules électriques, cette scale-up gantoise développe des partenariats stratégiques pour l’installation et la maintenance de bornes. »

Une voiture électrique peut-elle être incluse dans le package de tout employé ?

« Aujourd’hui, des véhicules moins onéreux, accessibles aux cadres moyens et inférieurs, apparaissent sur le marché. De plus, un véhicule électrique doit s’analyser au regard de son coût total de possession (Total Cost of Ownership), bien inférieur à celui d’un véhicule thermique. Souvent, on aura tout intérêt à opter pour le leasing. Nous proposons une offre complète et sur mesure à toutes les entreprises, quels que soient leur taille et leurs besoins.»

Qu’entendez-vous par une « offre complète » ?

« Outre le leasing proprement dit, nous fournissons, grâce à nos nombreux partenaires, une solution de recharge à domicile ou au travail, une carte de recharge pour les réseaux publics, un remboursement automatique pour l’utilisation au domicile, une app pour trouver des bornes de recharge, et une formation à la conduite électrique. »

C’est, au fond, un véritable écosystème que vous développez…

« Nous voulons coconstruire la mobilité de demain. En la finançant, via le crédit ou le leasing, en l’assurant, mais aussi en agissant avec d’autres au-delà de nos métiers traditionnels. Comme avec Optimile, que j’ai déjà évoquée, et Touring, synonyme de garantie et de fiabilité. »

Mais la mobilité, ce n’est pas que la voiture…

« Nous sommes de ceux qui veulent repenser le rapport à la voiture. Au vu des objectifs climatiques et de la raréfaction des ressources, remplacer chaque voiture thermique par une voiture électrique est impossible. Arval procure une expertise complète aux entreprises engagées dans la transition. Nous les aidons à analyser les besoins, à définir des alternatives à la voiture, à mettre à disposition un budget mobilité, ou encore à mettre au point une mobility policy. Nous proposons par exemple le leasing vélo, en combinaison ou non avec le leasing de voitures. Nous croyons fermement à la multimodalité et aux solutions de mobility a as service, soit la possibilité de combiner et payer facilement plusieurs modes de transport. C’est d’ailleurs aussi l’une des spécialités de notre partenaire Optimile. »

Les entreprises et leurs employés sont-ils réceptifs à ce message ?

« L’idée qu’un employé ne se dise plus ‘j’ai autant pour ma voiture dans mon package salarial’, mais bien ‘j’ai autant pour ma mobilité’, fait son chemin. L’économie de l’usage plutôt que de la propriété s’est imposée pour le fitness ou le streaming. Elle s’imposera aussi pour la mobilité, avec des voitures partagées et des abonnements forfaitaires qui rendront les budgets plus prévisibles pour les entreprises comme pour les citoyens. Mais la rapidité de ce changement dépendra aussi du succès du budget mobilité fédéral, qui peine pour l’instant à décoller.»

BNP Paribas Fortis SA - Montagne du Parc 3 - B-1000 Bruxelles -TVA BE 0403.199.702 – RPM Bruxelles.

Optimile SA – Sassevaartstraat 46 bus 204, 9000 Gent – RPM Gent – TVA BE 0648.837.849 – www.optimile.eu - BNP Paribas Fortis SA détient une participation de plus de 10% dans Optimile SA.

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102.

Touring SA – Bd Roi Albert II 4 B12, 1000 Bruxelles - RPM Bruxelles - BCE 0403.471.401, est enregistrée sous ce numéro auprès de la FSMA, rue du Congrès 12-14, 1000 Bruxelles, et agit comme agent lié, rémunéré à la commission, pour AG Insurance SA. AG Insurance SA détient une participation supérieure à 10% dans Touring SA.

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