Même si la voiture reste la « petite reine » en matière de trajets domicile-travail, la mobilité « douce » et durable a le vent en poupe pour nombre de travailleurs et d’employeurs… La preuve par les chiffres !
Les résultats de la dernière enquête sur les déplacements domicile-travail, réalisée par SPF Mobilité et Transports entre 2017 et 2018, sont formels : même si les chiffres sont plus stables que jamais, la voiture continue de dominer (65 %) les trajets professionnels dans l’ensemble du pays. Derrière, le vélo a mis la deuxième et ne cesse de gagner du terrain, notamment auprès des navetteurs et en particulier en Flandre (17 %). Les disparités régionales ne s’arrêtent pas là, puisqu’à Bruxelles, les transports en commun remportent la palme avec près de 53 % contre 36 % d’automobilistes. Et en Wallonie ? La voiture y règne toujours en maître (83 %) même si le vélo grappille quelques « mètres » dans les grandes villes. Voyons cela en détail…
La voiture perd (légèrement) du terrain…
Les tendances — entre 2005 et 2017 — sur l’ensemble du pays sont claires : tant la voiture (-2,7 %) que le covoiturage (-47 %) et la moto (-34 %) ont reculé au cours de la dernière décennie. À l’inverse, le train (+12 %), les transports en commun (+15 %) et surtout le vélo (+43 %) ont le vent dans le dos. Cette progression place la bicyclette (électrique ou non) comme le second mode de déplacement préféré des travailleurs belges. Une réalité au cœur des trois Régions, notamment à Bruxelles (+259 %) où la moto remporte aussi un certain succès (+70 %). Notons également la perte de vitesse des « transports collectifs organisés par l’employeur » : moins de 53 % pour tout le pays.
Les raisons de monter en selle ?
S’il grimpe partout en Belgique (de 43 %, donc), le vélo est le moyen de transport qui présente le plus de disparités régionales. La Flandre confirme son statut de région du deux roues, puisque les travailleurs flamands l’enfourchent 10 fois plus qu’en Wallonie. Bruxelles affiche également une croissance incroyable et ce n’est pas au détriment de la « marche » (qui a elle aussi progressé de 29 % depuis 2005). Malgré cette poussée, la capitale reste encore en retrait (de 5 fois) par rapport aux grands centres urbains de Flandre. Quoi qu’il en soit la bicyclette séduit de plus en plus. Les raisons du succès ? L’indemnité vélo — qui offre depuis 2005 des avantages tant à l’employeur qu’au travailleur — a sans aucun doute joué un rôle important. Les développements technologiques — modèles électriques, pliables, etc. — ont certainement leur quote part dans cette évolution positive. Sans oublier la croissance des aménagements et infrastructures dans les centres urbains ou encore les mesures politiques pour favoriser la mobilité douce, entre autres le « budget mobilité » qui offre plus de flexibilité aux entreprises et aux employés.
Des facteurs d’influence…
Assez logiquement, les villes attirent les cyclistes bien plus que les unités hors des centres urbains. L’enquête souligne également que l’accessibilité aux transports en commun ne fait pas baisser la proportion des modes de déplacement « actifs ». Par contre, une entreprise « excentrée » aura tendance à motiver ses employés à faire usage de la voiture et de la moto. Dans le même sens, l’utilisation de la marche et du vélo augmente fortement lorsque les distances diminuent. Autre volet de l’enquête ? Les particularités liées au genre. Si le nombre de cyclistes flamandes et flamands est équivalent, les femmes à bicyclette ne sont plus que deux sur cinq dans la capitale. Ce chiffre baisse encore davantage dans le sud du pays. Un autre point intéressant concerne les « obstacles » au vélo. De nombreux sondés indiquent la dangerosité du parcours, la trop grande distance pour aller au bureau ou le manque d’infrastructures (publiques et au sein de lieu de travail).
Des employeurs « en marche » pour la mobilité douce
Les trajets domicile-travail représentent jusqu’à 65 % du trafic aux heures de pointe. Et le SPF l’indique clairement : une baisse du pourcentage de voitures ne signifie pas pour autant moins d’embouteillages. Et pour cause, le nombre de travailleurs augmente dans le même temps. Un contexte qui contribue à encourager les employeurs à prendre des mesures en faveur de la mobilité durable… Rappelons que les grandes entreprises bruxelloises sont légalement tenues d’agir dans ce sens ! Pour stimuler le vélo, les sociétés disposent de plusieurs cordes à leur arc de « mobilité » : l’indemnité vélo en tête, mais aussi la mise à disposition de bicyclettes de société, l’accès sécurisé à un parking, des campagnes de sensibilisation, des abris couverts, des vestiaires et des douches ou encore des services d’entretien. Soulignons que la gratuité des transports en commun continue de séduire et que le télétravail gagne aussi du terrain (+39 % depuis 2014), en particulier dans les banques et les assurances, au sein des institutions publiques ou encore dans le secteur de l’information et de la communication.
NB : Ce diagnostic a été mené auprès des entreprises et des services publics qui occupent plus de 100 personnes (soit plus de 11.000 unités d’établissement) et porte sur les déplacements de 1,5 million de travailleurs. Son intérêt est donc central pour comprendre la mobilité dans notre pays et notamment les obstacles qui se posent encore en matière de trajets professionnels plus durables.
27.07.2018
Mobilité intelligente pour une meilleure qualité de vie dans les villes
Dans le monde entier, la population s'urbanise de plus en plus. Pour assurer et améliorer la qualité de vie en ville, il faut que les choses changent. Toon Donné, CEO de zZoomer, a pris les devants et s'efforce de résoudre les problèmes de mobilité.
Toon, comment, selon vous, doit s'organiser la mobilité dans une ville où santé et qualité de vie ne sont pas des vains mots ?
« Chez zZoomer, nous faisons une distinction. Pour la mobilité des particuliers, l'accessibilité (les possibilités de parking, notamment) est importante. Une mobilité durable et légère leur apporte indubitablement une plus-value. Pour la mobilité dans un contexte professionnel, la solution du 'hub' est intéressante: un point de rassemblement à la périphérie de la ville, d'où on se rend en centre-ville au moyen de véhicules plus légers, et durables. Avec un minimum de nuisances, que ce soit sur le plan écologique ou sur celui des embouteillages. »
En quoi votre entreprise contribue-t-elle à rendre la ville plus vivable ou plus intelligente ?
« Pour atteindre cet objectif de mobilité légère et durable, zZoomer utilise surtout des scooters électriques: une solution d'accès facile lorsque le vélo ne convient pas, pour une question de rayon d'action ou de poids et volume. En outre, certaines personnes n'aiment pas le vélo. Ajoutons encore que nous proposons une mobilité sans soucis, un système de location tout compris, même les aspects tels que l'usure du matériel. L'utilisateur n'a à se soucier de rien. »
Combien de véhicules avez-vous déjà en circulation ?
« Pour l'instant une bonne trentaine, et pour être en mesure de satisfaire à la demande, nous avons déjà commandé les suivants auprès du constructeur. Nous ne choisissons que de l'excellente qualité, du matériel vraiment durable. Un scooter qui rend l'âme après deux ans, c'est du gaspillage, il n'y a rien de durable là-dedans.
Les utilisateurs sont, d'une part, des particuliers qui troquent délibérément leur voiture contre un scooter et, d'autre part, les traditionnels livreurs de pizzas et autres colis, qui optent vraiment pour l'électrique. Nos scooters n'émettent pas de pollution ni d'odeurs désagréables et ne font pas de bruit. »
Pour lancer zZoomer, vous avez certainement eu besoin d'un capital élevé ?
« En effet! Nous proposons des scooters électriques mais aussi des vélos, voitures et camionnettes, tous électriques, et nous avons donc eu besoin d'un solide capital de départ. Pas évident pour une start-up. Lorsque j'ai frappé à la porte de la banque, BNP Paribas Fortis, la seule chose que j'ai pu leur présenter, c'était un business plan. Mais mon chargé de relation a tout de suite cru en mon projet et il m'a soutenu et épaulé à fond, y compris pour le long terme. Une expérience particulièrement agréable pour un entrepreneur. Avec ses collègues, ils trouvent que des projets de ce type sont vraiment importants, et que la banque a pour rôle, vis-à-vis de l'économie et de la société, de les soutenir. »
Toon Donné a récemment participé à l’Innovation Trip à Paris organisée par BNP Paribas Fortis. Il nous livre ses impressions en vidéo sur ces deux jours à la découverte de la Smart City.
10.09.2018
Le « budget mobilité » fait la part belle à la multimodalité !
La « mobilité » n’en finit pas d’être sur le devant de la scène. D’abord, le « cash for car » – aussi appelé « indemnité budget » ou « allocation de mobilité » (la terminologie a son importance) –, entré en vigueur le 1er janvier 2018. Dans ce système, c’est la voiture ou l’argent. On a également évoqué les possibilités « mobilité » du « plan cafétéria »… Le « budget mobilité » arrive à son tour !
Le « budget mobilité » entre prochainement en piste. Si le gouvernement s’est engagé à mettre le dispositif en application dès le 1er octobre, il reste encore quelques étapes du processus législatif à franchir pour que la mesure (issue de l’accord gouvernemental de cet été, baptisé « jobs deal ») soit définitivement entérinée (en particulier, l’avis du Conseil d’État et le passage au Parlement).
Pourquoi et pour quand ?
La date à retenir est donc le 1er octobre 2018, même s’il est peu probable que le dispositif soit directement accessible. Il faudra certainement attendre que les entreprises se lancent dans le bain et aller sans doute jusqu’au bout des contrats de leasing en cours (pour ne pas devoir dédommager les concessionnaires). Comme pour le « cash for car », dont le succès reste pour l’instant mitigé, l’objectif de cette proposition est de décongestionner les routes, mais aussi de « verdir » le parc automobile... Comme son analogue, le « budget mobilité » pourra être mis en place à l’initiative de l’employeur et toujours à la discrétion de l’employé.
Même « cible », autre option !
Concrètement, les travailleurs pourront échanger leur véhicule contre… un « budget mobilité ». Jusqu’ici c’est simple. Accessible à tous les employeurs ? Non, uniquement pour ceux qui ont mis en place un système de voiture de société depuis au moins 36 mois, sauf s’il s’agit d’une entreprise de moins de 3 ans. Du côté des employés, sont concernés ceux qui disposent déjà d’un véhicule depuis au moins 12 mois ou ceux qui sont éligibles pour en bénéficier (nouvelles recrues, promotion, etc.). Conclusion : « cash for car » et « budget mobilité » vont donc coexister, puisque le dispositif s’adresse à la même catégorie de salariés…
Place à la multimodalité…
Parlons cash : le « budget mobilité » sera équivalent au coût total annuel brut de la voiture de société pour l’employeur, frais de carburant et assurance inclus. Mais rappelons qu’à l’instar du « cash for car », la neutralité des coûts est assurée, tant pour l’employeur que pour le travailleur. Concrètement, que peut faire le collaborateur avec ce montant ? Il a le choix (contrairement au « cash for car ») entre plusieurs solutions, tant qu’il reste dans l’enveloppe…
- Le salarié pourra donc échanger sa voiture actuelle. Mais uniquement pour un modèle plus respectueux de l’environnement (électrique, hybride ou dont les émissions de CO2 sont inférieures à 95 g/km), dont le traitement fiscal sera similaire à celui d’une voiture de société.
- Que peut-il faire avec le solde ? Le consacrer au pilier de « mobilité durable ». C’est-à-dire, des moyens alternatifs et « verts » : vélos électriques, trottinettes, cycles motorisés (sans jamais dépasser 45 km/h), transports en commun — que ce soit un abonnement « domicile-lieu de travail » à son nom ou des tickets individuels en Belgique et à l’étranger — ou encore toutes les solutions partagées de déplacements. Ce pilier est exonéré de charges sociales et fiscales, tant pour le travailleur que pour l’employeur.
- « L’absence de déplacements » pourra aussi être valorisée. En effet, si l’employé habite ou déménage dans un rayon de 5 km de son lieu de travail, alors le solde peut être utilisé pour financer son loyer ou les intérêts (et uniquement les intérêts) de son emprunt.
- Et si tout le budget n’est pas épuisé en fin d’année ? Le travailleur pourra recevoir la différence en espèces, mais il risque d’y perdre, puisque le montant sera soumis à une cotisation sociale de 38,07 %. Dans ce contexte, autant utiliser entièrement son budget…
« Budget » plutôt que « cash for car » ? Pas forcément !
Renoncer à sa voiture sera envisageable dans le cadre du « budget mobilité », mais pas pour autant encouragé ! D’abord, l’employeur peut « limiter » cette option, s’il estime qu’un véhicule est indispensable au travailleur. Mais, dans tous les cas, l’employé risque de ne pas être gagnant, puisque l’argent récupéré sera lourdement taxé. S’il souhaite se passer à 100 % d’une voiture, il aura donc tout intérêt à se tourner vers le « cash for car », prévu spécifiquement à cet effet.
11.09.2024
Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal
Vous souhaitez louer une voiture de société, mais sans vraiment savoir ce que vous avez comme possibilités ? Nous vous expliquons quelles sont vos différentes options, pour choisir le type de leasing qui vous convient le mieux. Et jusqu’au 30 novembre 2024, vous pouvez aussi profiter d’un TopDeal de notre partenaire Arval pour les nouvelles BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électriques à un prix tout compris très avantageux.
Leasing financier ou opérationnel ?
Pour le leasing financier comme pour le leasing opérationnel, c’est la même logique qui s’applique : vous payez un loyer à une société de leasing pour une période donnée, généralement quatre ou cinq ans. Dans les deux formules, la société de leasing est le propriétaire légal du véhicule. Mais vous disposez d’une option d’achat à la fin du contrat. Dans le cas d’un leasing financier, le montant de l’option d’achat est connu dès le début du contrat. Dans le cas d’un leasing opérationnel, le montant est déterminé à la fin du contrat sur la base de la valeur de marché de la voiture.
La formule « services compris »
C’est l’un des grands avantages du leasing opérationnel par rapport au leasing financier : les taxes, l’assurance (omnium), l’entretien et les charges (sauf le carburant) sont compris dans le loyer. De plus, vous bénéficiez de services supplémentaires tels que des pneus été et hiver, un service de dépannage et un véhicule de remplacement. Autrement dit, vous payez un certain montant tous les mois, et tout est réglé pour vous. Bref, vous roulez sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit : tout est payé, sauf le carburant.
Quelles conséquences fiscales ?
L’option d’achat a des conséquences fiscales : dans le cas d’un leasing financier, vous amortissez le bien d’investissement et vous déduisez fiscalement les intérêts. Le véhicule est comptabilisé à l’actif de votre bilan. Avec un leasing opérationnel, vous déduisez la totalité du montant de la location au titre de frais. Dans les deux cas, des plafonds de déduction fiscale s’appliquent et vous devrez peut-être tenir compte de l’utilisation professionnelle de la voiture. Sans oublier que la TVA est payée mensuellement sur le loyer et donc pas en une seule fois. Cela vous permet de préserver vos lignes de crédit pour d’autres investissements.
Laissez-vous séduire par notre TopDeal
Nous proposons une offre exceptionnelle jusqu’au 30 novembre 2024 : vous pouvez louer la nouvelle BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électrique dans le cadre d’un leasing opérationnel à un prix avantageux et exclusif, tous services compris.
Envie d’en savoir plus ? Vous trouverez tous les détails sur cette page
Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire en assurances à titre accessoire, inscrit auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.
04.09.2024
Arval : de la mobilité, privée et professionnelle
De nombreux collaborateurs voient aujourd’hui la mobilité comme une nécessité qu’ils abordent avec leur employeur. Depuis longtemps déjà, ils ne se déplacent plus exclusivement en voiture. Ils combinent de plus en plus souvent plusieurs solutions de mobilité, privées, publiques et mixtes. Les entreprises belges sont donc de plus en plus en demande de know-how pour mettre au point le mix parfait de mobilité, adapté à la fois à leurs besoins professionnels et à ceux de leur personnel. Les spécialistes en mobilité d’Arval expliquent comment évolue la mobilité et comment ils tiennent compte de cette évolution. Et pour cela, il faut non seulement les bonnes connaissances, mais aussi disposer d’un package d’accompagnement grâce auquel ils peuvent vraiment aider les employeurs.
Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert, résume la vision et la mission d’Arval : « Life is a journey made of journeys. Chez Arval, nous traduisons ceci en nous demandant constamment comment soutenir et soulager les petites, moyennes et grandes entreprises pour toutes leurs questions de mobilité. Et dans notre ADN de facilitateur, il y a deux aspects importants qui apportent de la valeur : la mobilité personnelle et la mobilité durable*. De l’indépendant en personne physique à la grande entreprise : Arval met son know-how corporate au service de toutes et tous en veillant toujours à proposer une solution globale tout-en-un. »
*La mobilité durable : une mobilité moins émettrice en gaz à effets de serre, qui promeut l’électrification, la mobilité douce et/ou les transports en commun.
La mobilité durable, une évidence
Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises jouent pleinement la carte de la mobilité durable, ou évoluent dans cette direction. Cela implique non seulement de se tourner vers les voitures électriques, mais aussi de s’ouvrir aux nouvelles solutions de mobilité. Et dans ce contexte, Arval doit informer ses clients et les accompagner dans leurs ambitions de mobilité durable. De nouvelles solutions de mobilité comme Arval Bike Lease, Arval Car Sharing et le futur outil de gestion du budget sont pour de nombreuses entreprises la clé pour faire évoluer leur mobilité dans le bon sens.
Un atout dans la « guerre des talents »
Par ailleurs, toutes ces solutions ne sont pas que de simples options de déplacement : elles s’intègrent aussi dans le concept HR mis en place par les entreprises dans leur « guerre des talents ». Philippe Kahn et Arval travaillent de plus en plus souvent avec des entreprises qui veulent se positionner sur ces enjeux de mobilité. Elles estiment que c’est une belle occasion de renforcer le lien avec leurs équipes ou d’attirer de nouveaux talents.
Philippe Kahn : « Beaucoup d’entreprises tiennent par exemple compte de la mobilité pour choisir l’endroit où elles s’implantent. Elles cherchent à être proches d’un centre de mobilité, par exemple une grande gare comme Bruxelles-Central ou Anvers-Berchem. Ça leur permet de proposer à leurs collaborateurs un mix complet de solutions de mobilité : vélo ou trottinette partagée pour aller au travail, voiture de pool ou train pour leurs déplacements, bus et voitures partagées… Et ils financent le tout avec le budget mobilité qu’ils reçoivent de leur employeur. »
De la valeur ajoutée sur le plan professionnel et personnel
L’outil de gestion du budget grâce auquel les entreprises gardent un œil sur toutes les solutions de mobilité utilisées par leurs collaborateurs et leur coût, n’est qu’une petite partie de la valeur ajoutée d’Arval pour les entreprises. La consultance en mobilité fait aussi partie intégrante de son offre pour les entreprises.
Philippe Kahn : « Imaginons qu’une entreprise d’environ 100 collaborateurs envisage de déménager dans le centre d’Anvers. Nous allons définir avec elle quelles sont les nouvelles solutions de mobilité dont elle aura besoin et leur coût total. Nous travaillerons donc en intégrant vraiment l’équipe et nous analyserons ensemble l’impact futur des différentes solutions de mobilité. C’est un travail sur mesure qui nous permet de mettre notre expertise au service de nos clients. »
Cette expertise permet souvent aux entreprises de progresser dans leur gestion d’entreprise, mais aussi dans celle de leurs équipes. Philippe Kahn : « Le temps du fichier Excel où on tenait à jour l’utilisation de la voiture de pool est révolu. Les applications pour smartphone ou PC rendent tout plus facile et plus fluide. Elles localisent les voitures de pool des différents sites, et assouplissent la frontière entre voitures de pool et voitures partagées. Ainsi, pendant le week-end, les collaborateurs ont la possibilité d’utiliser à des fins privées – et contre paiement – la voiture qu’ils utilisent pour leurs déplacements professionnels. L’accompagnement standard lié au leasing d’un vélo électrique fait aussi partie de notre offre. A cet égard, Arval facilite la vie des employeurs tout en leur permettant aussi de proposer des solutions à leurs collaborateurs pour leur mobilité privée. Les entreprises vont ainsi vraiment faire partie de la vie quotidienne de leurs collaborateurs, via leur dossier de mobilité. »
Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire d’assurance à titre accessoire enregistré auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.
A ne pas manquer
- Le vélo gagne du terrain pour les déplacements au bureau
- Mobilité intelligente pour une meilleure qualité de vie dans les villes
- Le « budget mobilité » fait la part belle à la multimodalité !
- Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal
- Arval : de la mobilité, privée et professionnelle