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28.03.2019

Qui a réalisé le deal de l’année ?

Le 15 mai prochain, le prix " Deal of the Year " sera décerné pour la première fois. Le même jour, nous connaîtrons le nom du gagnant du prix "Trends CFO of the Year ".

Cette nouvelle distinction vise à récompenser une opération particulière – fusion et acquisition, introduction en Bourse, augmentation de capital, placement privé, etc. – dans laquelle une entreprise belge s’est particulièrement distinguée dans le courant de l’année 2018. Découvrez les cinq transactions qui ont retenu l’attention du jury :

ELIA

Le 23 mars 2018, le gestionnaire de réseau belge Elia annonce qu'il acquiert 20% des parts dans la société 50Hertz, son homologue allemand, pour un montant de 976,5 millions d’euros, portant ainsi sa participation à 80%. Un peu plus tard, en juillet, Elia décide de prendre le contrôle total de 50Hertz en rachetant les 20 % restants, qu’elle revend immédiatement à Kreditanstalt für Wiederaufbau (KfW), la banque publique allemande. Cette transaction permet de renforcer la coopération belgo-allemande en matière d’infrastructures de réseau critiques. En outre, elle permet à l’entreprise de créer des synergies et de se développer pour devenir un groupe européen de premier plan. 

SHOWPAD

En juin 2018, la plateforme logicielle d’aide aux équipes de vente et de marketing Showpad lève 28 millions d'euros (34 millions de dollars) auprès de ses actionnaires, Insight Ventures (Etats-Unis) et Dawn Capital (Grande-Bretagne), deux importants fonds de capital à risque. Le but ? L’acquisition de LearnCore, le spécialiste américain du coaching online. Avec l'acquisition de Learncore, l’entreprise élargit son offre globale en intégrant désormais le coaching personnalisé en ligne et lui permet ainsi de se différencier davantage de ses concurrents.

AEDIFICA

Le 21 décembre 2018, le spécialiste de l'immobilier de santé coté en Bourse, Aedifica finalise l'acquisition du portefeuille immobilier de santé de Lone Star Real Estate Fund IV pour un montant de 450 millions de livres sterling (520 millions d'euros). Déjà présent en Belgique, en Allemagne et aux Pays-Bas, il fait alors son entrée au Royaume-Uni. Avec cette opération, la plus importante jamais réalisée par Aedifica, le groupe bruxellois renforce sa position d’investisseur européen dans le secteur de l'immobilier de santé. Le marché britannique de la santé reste fragmenté et offre dès lors de nouvelles opportunités pour Aedifica.

COLLIBRA

Début 2018, Collibra, scale-up bruxelloise spécialisée en gouvernance des données, lève 58 millions de dollars (48 millions d'euros). L'éditeur de logiciels veut s'appuyer sur son avance commerciale et technologique et investit donc fortement dans son organisation ainsi que dans la recherche et le développement. Début 2019, 100 millions d'euros supplémentaires sont levés, notamment auprès de la société d'investissement d'Alphabet, la holding chapeautant Google. Collibra est la première de la nouvelle génération de start-ups belges dont  la valorisation dépasse le milliard de dollars.

ITEOS THERAPEUTICS

Le 20 juin 2018, iTeos Therapeutics annonce la levée de 75 millions de dollars US (64 millions d'euros) pour accélérer le développement de traitements du cancer par immunothérapie. Les fonds seront également utilisés pour agrandir son nouveau bureau à Cambridge, Massachusetts, the place to be pour les biotechs sur la côte Est des Etats-Unis. Pour une jeune entreprise de biotechnologie, le montant levé est exceptionnel, mais vu la concurrence, Iteos Therapeutics doit être capable d’évoluer rapidement. C’est MPM Capital, le fonds d'investissement américain, qui a mené la levée de fonds. Elle a attiré de nouveaux investisseurs comme HBM Partners, 6 Dimensions Capital et Curative Ventures. Tous les investisseurs existants, tels que Fund+, VIVES II, SRIW et SFPI, y ont également participé.

‘CFO of the Year’ et ‘Deal of the Year’ sont une initiative de Trends-Tendances en collaboration avec BNP Paribas Fortis.

En savoir plus sur cette initiative.

Le gagnant du prix « Deal of the Year » sera annoncé lors de la soirée de remise de prix du Trends CFO of the Year, le 15 mai 2019 à Brussels Expo.

Conférencier d'honneur de cette 8ème édition, Wim Dejonghe, Associé principal d'Allen & Overy, partagera son point de vue sur les conséquences du Brexit et des conflits commerciaux dans le monde.

Un débat est également au programme, dont le thème est " Faire des affaires dans un monde de risques politiques ", auquel participeront Wim Dejonghe, Birgit Conix, CFO TUI Group (lauréate du prix Trends CFO of the Year 2018), Karim Hajjar, CFO de Solvay et William De Vijlder, Chief economist chez BNP Paribas.

Vous pouvez suivre l'événement sur Twitter via #TrendsCFO2019.

Découvrez ici les nominés pour le prix Trends CFO de l’Année.

Source : Trends

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12.04.2019

Qui sera le "Trends CFO of the Year 2019" ?

Le mercredi 15 mai, nous connaitrons le nom de celui, ou celle, qui succèdera à Birgit Conix, CFO du groupe TUI, comme ‘CFO of the Year’. Particularité de cette année : 4 des 5 nominés sont des femmes.

Les nominés pour le prix CFO de l’année sont :

Ann Desender (Barco)

L'entreprise technologique a fait son entrée au Bel20 ce mois-ci. Barco a le vent en poupe avec un chiffre d'affaires qui dépasse le milliard d'euros depuis plusieurs années. "Nous plaçons la barre toujours plus haut", déclare sa CFO, Ann Desender qui est à la manoeuvre depuis 2016. « Ce qui implique de changer la culture d’entreprise et dans le même temps de poser des choix y compris d’exclure des activités qui ne génèrent pas assez de bénéfices, voire aucun. » poursuit-elle. Fin 2018, Barco créait la surprise en supprimant 240 de ses 3.600 emplois. Simplifier la structure a permis de relever le niveau d’efficacité et de réinvestir les ressources disponibles.

Yves Honhon (CMI)

Les finances du groupe industriel wallon CMI sont gérées depuis 18 ans par Yves Honhon, qui compare volontiers son rôle à celui d’un chef d'orchestre. Il était au premier rang lorsque CMI a quitté Arcelor/Cockerill pour poursuivre sa route en solo en avril 2002. Par la suite, "la société est passée du statut de filiale à celui de société mère. » raconte-t-il. De 18 entreprises dans 7 pays, CMI est passé à 85 entreprises dans 23 pays. Le total du bilan a quintuplé entre 2002 et 2018, passant de 271 millions à près de 1,5 milliard. Yves Honhon n'exclut pas de nouvelles acquisitions, que du contraire ! L'ambition de CMI est d'atteindre un chiffre d'affaires de 1,6 milliard d'euros en 2022.

Nathasja Van Bael (Medialaan/Persgroep)

Nathasja Van Bael est CFO chez Medialaan depuis 2015. Depuis le rapprochement avec De Persgroep, elle sait combien il peut être complexe d'orienter une fusion dans la bonne direction. "2018 a été l'une des années les plus difficiles de ma carrière, du fait de la fusion essentiellement. Sur le plan juridique et financier, tout est réglé mais l'intégration opérationnelle n’est pas terminée", déclare la CFO. Non seulement elle a guidé avec succès l'entreprise dans ces eaux turbulentes, mais elle est également attentive à la maîtrise des coûts dans les circonstances économiques difficiles actuelles : "Je ne supporte pas l'inefficacité et j’adore passer au crible les processus de l'entreprise", conclut-elle.

Catherine Vandenborre (Elia)

CFO d'Elia depuis 2014, Catherine Vandenborre a joué, avec son équipe, un rôle clé dans les négociations et le financement de la prise d’une participation de contrôle d’Elia dans l’allemand 50Hertz. "C'était un vrai travail d'équipe. Nous y avons travaillé jour et nuit avec un petit groupe de personnes". Sa vison du rôle d'un CFO moderne : "Un directeur financier est l'architecte de la création de valeur de l'entreprise. » Cela implique qu'il participe à la stratégie et à son déploiement à l’échelon de la société. Ces dernières années, de nouvelles dimensions se sont ajoutées, car l’innovation, la gestion des données et la numérisation interviennent de plus en plus. Dans le même temps, elle considère important de s'attaquer au problème du changement climatique aussi efficacement que possible. Elia prévoit une augmentation de capital de 350 à 450 millions d'euros afin de renforcer son bilan et de réaliser des investissements supplémentaires dans l'infrastructure du réseau belge.

Els Verbraecken (DEME)

Depuis qu'elle est devenue CFO du groupe de services maritimes DEME il y a six ans, Els Verbraecken et son équipe ne sont pas restés inactifs. Elle est particulièrement fière du programme d'investissement de plus de 1,5 milliard d'euros dans des bateaux neufs lancé fin 2015. Elle garde fermement la gestion des risques sous la loupe. "Vous devez maintenir l'équilibre entre investissement et financement, prise de risques et limitation des risques, rapports administratifs et proactivité » déclare-t-elle. Bien que confrontée régulièrement à la complexité du commerce international, Els Verbraecken est une grande adepte de la simplification. "Dans un monde complexe et dynamique, tout doit rester simple et flexible ", conclut la CFO de cette entreprise présente dans plus de 60 pays. 

‘CFO of the Year’ est une initiative du Trends en collaboration avec BNP Paribas Fortis. Ce prix récompense les directeurs financiers qui jouent un rôle important dans le développement financier et stratégique de leur entreprise.

Plus d'infos sur l'événement.

Le gagnant du prix ‘Trends CFO of the Year sera dévoilé lors de la cérémonie de remise de prix à Brussels Expo le 15 mai 2019.

Conférencier d'honneur de cette 8ème édition, Wim Dejonghe, Associé principal d'Allen & Overy, partagera son point de vue sur les conséquences du Brexit et des conflits commerciaux dans le monde.

Un débat est également au programme autour du thème " Faire des affaires dans un monde de risques politiques ", auquel participeront Wim Dejonghe, Birgit Conix, CFO TUI Group (lauréate du prix Trends CFO of the Year 2018), Karim Hajjar, CFO de Solvay et William De Vijlder, Chief economist chez BNP Paribas.

Vous pouvez suivre l'événement sur Twitter via #TrendsCFO2019.

Pour la première fois, le jury récompensera également le Deal de l’année.

Source : Trends

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11.09.2024

Découvrez nos options de leasing et laissez-vous séduire par notre TopDeal

Vous souhaitez louer une voiture de société, mais sans vraiment savoir ce que vous avez comme possibilités ? Nous vous expliquons quelles sont vos différentes options, pour choisir le type de leasing qui vous convient le mieux. Et jusqu’au 30 novembre 2024, vous pouvez aussi profiter d’un TopDeal de notre partenaire Arval pour les nouvelles BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électriques à un prix tout compris très avantageux.

Leasing financier ou opérationnel ?

Pour le leasing financier comme pour le leasing opérationnel, c’est la même logique qui s’applique : vous payez un loyer à une société de leasing pour une période donnée, généralement quatre ou cinq ans. Dans les deux formules, la société de leasing est le propriétaire légal du véhicule. Mais vous disposez d’une option d’achat à la fin du contrat. Dans le cas d’un leasing financier, le montant de l’option d’achat est connu dès le début du contrat. Dans le cas d’un leasing opérationnel, le montant est déterminé à la fin du contrat sur la base de la valeur de marché de la voiture.

La formule « services compris »

C’est l’un des grands avantages du leasing opérationnel par rapport au leasing financier : les taxes, l’assurance (omnium), l’entretien et les charges (sauf le carburant) sont compris dans le loyer. De plus, vous bénéficiez de services supplémentaires tels que des pneus été et hiver, un service de dépannage et un véhicule de remplacement. Autrement dit, vous payez un certain montant tous les mois, et tout est réglé pour vous. Bref, vous roulez sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit : tout est payé, sauf le carburant.

Quelles conséquences fiscales ?

L’option d’achat a des conséquences fiscales : dans le cas d’un leasing financier, vous amortissez le bien d’investissement et vous déduisez fiscalement les intérêts. Le véhicule est comptabilisé à l’actif de votre bilan. Avec un leasing opérationnel, vous déduisez la totalité du montant de la location au titre de frais. Dans les deux cas, des plafonds de déduction fiscale s’appliquent et vous devrez peut-être tenir compte de l’utilisation professionnelle de la voiture. Sans oublier que la TVA est payée mensuellement sur le loyer et donc pas en une seule fois. Cela vous permet de préserver vos lignes de crédit pour d’autres investissements.

Laissez-vous séduire par notre TopDeal

Nous proposons une offre exceptionnelle jusqu’au 30 novembre 2024 : vous pouvez louer la nouvelle BMW iX1 eDrive20 ou BMW i4 Gran Coupé électrique dans le cadre d’un leasing opérationnel à un prix avantageux et exclusif, tous services compris.

Envie d’en savoir plus ? Vous trouverez tous les détails sur cette page

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire en assurances à titre accessoire, inscrit auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.

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04.09.2024

Arval : de la mobilité, privée et professionnelle

De nombreux collaborateurs voient aujourd’hui la mobilité comme une nécessité qu’ils abordent avec leur employeur. Depuis longtemps déjà, ils ne se déplacent plus exclusivement en voiture. Ils combinent de plus en plus souvent plusieurs solutions de mobilité, privées, publiques et mixtes. Les entreprises belges sont donc de plus en plus en demande de know-how pour mettre au point le mix parfait de mobilité, adapté à la fois à leurs besoins professionnels et à ceux de leur personnel. Les spécialistes en mobilité d’Arval expliquent comment évolue la mobilité et comment ils tiennent compte de cette évolution. Et pour cela, il faut non seulement les bonnes connaissances, mais aussi disposer d’un package d’accompagnement grâce auquel ils peuvent vraiment aider les employeurs.

Philippe Kahn, Mobility Solutions Expert, résume la vision et la mission d’Arval : « Life is a journey made of journeys. Chez Arval, nous traduisons ceci en nous demandant constamment comment soutenir et soulager les petites, moyennes et grandes entreprises pour toutes leurs questions de mobilité. Et dans notre ADN de facilitateur, il y a deux aspects importants qui apportent de la valeur : la mobilité personnelle et la mobilité durable*. De l’indépendant en personne physique à la grande entreprise : Arval met son know-how corporate au service de toutes et tous en veillant toujours à proposer une solution globale tout-en-un. »

*La mobilité durable : une mobilité moins émettrice en gaz à effets de serre, qui promeut l’électrification, la mobilité douce et/ou les transports en commun.

La mobilité durable, une évidence

Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises jouent pleinement la carte de la mobilité durable, ou évoluent dans cette direction. Cela implique non seulement de se tourner vers les voitures électriques, mais aussi de s’ouvrir aux nouvelles solutions de mobilité. Et dans ce contexte, Arval doit informer ses clients et les accompagner dans leurs ambitions de mobilité durable. De nouvelles solutions de mobilité comme Arval Bike Lease, Arval Car Sharing et le futur outil de gestion du budget sont pour de nombreuses entreprises la clé pour faire évoluer leur mobilité dans le bon sens.

Un atout dans la « guerre des talents »

Par ailleurs, toutes ces solutions ne sont pas que de simples options de déplacement : elles s’intègrent aussi dans le concept HR mis en place par les entreprises dans leur « guerre des talents ». Philippe Kahn et Arval travaillent de plus en plus souvent avec des entreprises qui veulent se positionner sur ces enjeux de mobilité. Elles estiment que c’est une belle occasion de renforcer le lien avec leurs équipes ou d’attirer de nouveaux talents.

Philippe Kahn : « Beaucoup d’entreprises tiennent par exemple compte de la mobilité pour choisir l’endroit où elles s’implantent. Elles cherchent à être proches d’un centre de mobilité, par exemple une grande gare comme Bruxelles-Central ou Anvers-Berchem. Ça leur permet de proposer à leurs collaborateurs un mix complet de solutions de mobilité : vélo ou trottinette partagée pour aller au travail, voiture de pool ou train pour leurs déplacements, bus et voitures partagées… Et ils financent le tout avec le budget mobilité qu’ils reçoivent de leur employeur. »

De la valeur ajoutée sur le plan professionnel et personnel

L’outil de gestion du budget grâce auquel les entreprises gardent un œil sur toutes les solutions de mobilité utilisées par leurs collaborateurs et leur coût, n’est qu’une petite partie de la valeur ajoutée d’Arval pour les entreprises. La consultance en mobilité fait aussi partie intégrante de son offre pour les entreprises.

Philippe Kahn : « Imaginons qu’une entreprise d’environ 100 collaborateurs envisage de déménager dans le centre d’Anvers. Nous allons définir avec elle quelles sont les nouvelles solutions de mobilité dont elle aura besoin et leur coût total. Nous travaillerons donc en intégrant vraiment l’équipe et nous analyserons ensemble l’impact futur des différentes solutions de mobilité. C’est un travail sur mesure qui nous permet de mettre notre expertise au service de nos clients. »

Cette expertise permet souvent aux entreprises de progresser dans leur gestion d’entreprise, mais aussi dans celle de leurs équipes. Philippe Kahn : « Le temps du fichier Excel où on tenait à jour l’utilisation de la voiture de pool est révolu. Les applications pour smartphone ou PC rendent tout plus facile et plus fluide. Elles localisent les voitures de pool des différents sites, et assouplissent la frontière entre voitures de pool et voitures partagées. Ainsi, pendant le week-end, les collaborateurs ont la possibilité d’utiliser à des fins privées – et contre paiement – la voiture qu’ils utilisent pour leurs déplacements professionnels. L’accompagnement standard lié au leasing d’un vélo électrique fait aussi partie de notre offre. A cet égard, Arval facilite la vie des employeurs tout en leur permettant aussi de proposer des solutions à leurs collaborateurs pour leur mobilité privée. Les entreprises vont ainsi vraiment faire partie de la vie quotidienne de leurs collaborateurs, via leur dossier de mobilité. »

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102, intermédiaire d’assurance à titre accessoire enregistré auprès de la FSMA sous le numéro 047238 A. Sous réserve d’acceptation de votre demande.

Comment transformer les contraintes de la transition énergétique en opportunité stratégique ? « Avec rigueur et pragmatisme », nous explique notre partenaire Climact.

«Nous accompagnons et conseillons les entreprises pour qu’elles deviennent plus matures sur les enjeux liés au réchauffement climatique. Et ça implique d’aborder un certain nombre d’obligations, comme le reporting sur la durabilité exigé par la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) », explique Jerome Meessen, Associate Partner chez Climact. « Nous veillons à ce qu’elles retirent une vraie valeur ajoutée de cet exercice, les plus tangibles étant une réduction de leurs dépenses énergétiques ou une meilleure résilience de leurs fournisseurs et clients vis-à-vis de la transition climatique. Et nous le faisons à la fois avec rigueur et pragmatisme. Rigueur, car nous nous basons sur des chiffres et utilisons des méthodes reconnues, comme le Greenhouse Gas Protocol pour le calcul de l’empreinte carbone, sans tomber dans les pièges du greenwashing. Et pragmatisme, parce que nous nous adaptons toujours à la réalité de l’entreprise. »

Un parcours en 5 étapes

Mais concrètement, comment Climact accompagne-t-il les entreprises et organisations publiques ?

Jerome Meessen : « Nous les aidons tout d’abord à bien comprendre les enjeux du changement climatique auxquelles elles sont ou vont être confrontées. Nous le faisons en dressant une cartographie des opportunités et des risques, par exemple celui d’inondation d’un site de production ou les conséquences d’un prix carbone élevé. Nous établissons dans la foulée le diagnostic de leur incidence actuelle, c’est-à-dire le bilan carbone de leurs activités. Nous passons ensuite à l’étape de la vision future, en fixant avec elles des objectifs de durabilité, en nous référant lorsque c’est pertinent aux standards internationaux des Science Based Targets. Puis nous les aidons à mettre sur pied un plan de transition bien concret et à l’appliquer sur le terrain, par exemple en leur permettant de définir le contenu et les détails d’un contrat d’achat d’énergie verte. Et enfin, nous les accompagnons pour communiquer sur leur engagement, et ce notamment en nous alignant avec les exigences de la CSRD. »

La CSRD, charge administrative ou opportunité stratégique ?

Entrée en vigueur cette année, la CSRD et ses impératifs de reporting sont un passage obligé pour de nombreuses entreprises. « L’ambition de la directive est de donner un maximum de transparence sur l’état de la transition durable des entreprises », précise Jerome Meessen. « Le reporting porte sur des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce tableau permet aussi aux acteurs extérieurs, en particulier ceux qui vont financer l’entreprise, d’avoir une vue objective du chemin accompli, de l’ambition climatique et de l’exposition aux risques du changement climatique.

« Cet exercice de reporting est une charge administrative significative pour les entreprises », enchaîne Jérémy Robinet, qui coordonne le partenariat avec BNP Paribas Fortis. « Il faut respecter une méthodologie et des standards précis, remplir des formulaires, fournir des indicateurs… Mais c’est aussi l’occasion d’élaborer une stratégie solide et fondée de transition qui sera bénéfique pour l’entreprise, y compris en termes de réputation. Grâce à notre accompagnement, les entreprises gagnent du temps. Elles ont la certitude que leur reporting respecte les contraintes réglementaires, et elles donnent de la valeur et du sens à leur démarche ESG. »

Climact, partenaire de BNP Paribas Fortis

Climact est l’un des partenaires sélectionnés par BNP Paribas Fortis pour accompagner ses entreprises clientes au-delà des seuls enjeux financiers. « A l’initiative du Relationship Manager de la banque, nous rencontrons les entreprises qui souhaitent avancer sur leur transition énergétique et durable, plus spécifiquement pour leur stratégie de décarbonation et pour dresser leur bilan carbone», explique Jérémy Robinet.

Gilles Roumain, Sustainibility Program Officer chez BNP Paribas Fortis et responsable du partenariat avec Climact : « La collaboration avec Climact nous permet d’apporter des solutions à nos clients pour les accompagner dans la décarbonation de leurs activités, mais aussi d’améliorer notre expertise pour ces questions de la décarbonation. Et en leur proposant cet accompagnement, c’est aussi notre propre empreinte carbone que nous réduisons. »

« Les entreprises que la banque met en contact avec nous viennent de tous les secteurs », poursuit Jérémy Robinet. « Elles présentent une certaine envergure, avec par exemple un chiffre d’affaires d’au moins 25 millions ou une supply chain complexe. Ce partenariat a déjà débouché sur une quinzaine de collaborations, dont celle avec le fabricant de portes de garage RE Panels.

Nous les avons dans un premier temps accompagnés pour établir un bilan carbone conforme aux obligations européennes de la CSRD.  La direction a ensuite vu un intérêt stratégique dans ce travail et nous a demandé d’effectuer d’autres analyses plus spécifiques, par produit et site de production. Cet exercice leur a permis d’identifier des best practices. RE Panels  a apprécié notre approche. Pour chaque objectif d’amélioration de l’empreinte carbone, nous avons chiffré le coût, le gain et le montant de l’investissement. Ils ont aussi salué la rigueur de l’alignement sur les standards internationaux, un élément essentiel pour éviter de tomber dans les travers du greenwashing. »

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