Le 19 novembre 2019, BNP Paribas Fortis Private Equity a complété son portefeuille en acquérant une participation minoritaire dans JAC, fabricant de trancheuses à pains, leader du secteur, et de machines de mécanisation de la pâte.
BNP Paribas Fortis Private Equity soutient ainsi la transmission à la nouvelle génération de ce groupe familial en pleine expansion.
Baudouin Van Cauwenberghe explique : « L’entreprise était à la recherche d’un partenaire capable de s’engager sur le long terme et possédant les moyens financiers et les connaissances nécessaires en matière de fusions-acquisitions pour soutenir l’expansion de JAC. Nous avons opté pour un partenariat avec BNP Paribas Fortis Private Equity, car nous partageons la même vision de l’avenir du groupe. Les aspects opérationnels ne changeront pas ».
Louis Hubert, Investment Manager chez BNP Paribas Fortis Private Equity ajoute : « Nous avons été particulièrement impressionnés par la trajectoire de croissance du groupe, qui est le résultat d’une vision claire associée à une attention soutenue à la durabilité, la qualité et l’innovation. JAC détient une position dominante sur son marché et un potentiel de croissance majeur. En tant que partenaire actif, BNP Paribas Fortis Private Equity est déterminé à soutenir la nouvelle génération aux commandes de l’entreprise à réaliser ses plans d’expansion et à renforcer son leadership dans le secteur ».
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06.09.2024
Économie belge : comment mettre votre entreprise à l’abri des crises ?
L’été est derrière nous et la vie – y compris économique – retrouve son rythme habituel. À l’approche de l’automne, le moment est idéal pour nous projeter sur les mois à venir. Koen De Leus, Chief Economist de BNP Paribas Fortis, suit en permanence l’économie belge et internationale. Il examine avec nous l’actualité et partage ses perspectives sur la manière dont vous, petite, moyenne ou grande entreprise, pouvez faire face aux crises économiques actuelles et futures.
Chaque crise sociale a des conséquences économiques : c’est presque devenu une loi universelle. L’été dernier, un vent de crise a soufflé en provenance du Japon, s’ajoutant à une série d’événements qui ont marqué ces dernières années : le coronavirus, la crise énergétique, l’invasion de l’Ukraine, la guerre de Gaza, les catastrophes climatiques… Autant de crises qui ont eu des répercussions sur l’économie mondiale, et qui ont inévitablement rejailli sur la scène nationale. Koen De Leus explore ces dynamiques dans son livre « Les 5 tendances de la Nouvelle Économie Mondiale ». Dans cet ouvrage, il revient, avec son collègue Philippe Gijsels, sur les effets économiques de cette atmosphère de crise.
Koen De Leus : « Plusieurs tendances convergent pour créer la tempête économique parfaite dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Nous venons d’une époque marquée par la globalisation, une gestion maîtrisée des dettes, un vieillissement de la population qui ne posait jusqu’alors pas de problèmes majeurs… La vie suivait tranquillement son cours. Aujourd’hui, tout est bouleversé : hausse rapide des taux et de l’inflation, démondialisation, incertitude politique, changement climatique, pénurie de travailleurs…
À la question de savoir de quoi nos entreprises devront tenir compte dans les mois à venir, je dois d’emblée répondre qu’il faudra faire avec un certain nombre d’incertitudes. Pensons par exemple aux élections américaines de novembre, qui peuvent avoir un impact considérable sur le paysage économique. La différence de politique économique entre Kamala Harris et Donald Trump, avec ses taxes à l’importation, serait par exemple déjà particulièrement significative. La transition climatique crée également de l’incertitude. Même un simple dérèglement tel que celui des conditions météorologiques a des conséquences considérables. Les entrepreneurs qui font des affaires avec des pays confrontés à des vagues de chaleur ou des inondations comprendront de quoi je parle. Mais le vieillissement de la population place également nos entreprises dans un contexte de baisse de la population active. Si l’extrême droite venait à prendre le pouvoir, la probabilité que nous puissions compléter ce marché avec des travailleurs issus de la migration diminuerait. »
En outre, le problème de la dette de notre pays s’est lui aussi aggravé. Koen De Leus : « Ces dernières décennies, la baisse des taux d’intérêt nous a sauvés. Nous devions en effet payer moins de charges et pouvions dès lors nous permettre plus de dépenses. Cette époque est malheureusement définitivement révolue. Au contraire, des charges d’intérêts plus élevées viennent s’ajouter à la hausse des dépenses. Cela nous rend vulnérables aux mesures d’économie qui nous sont imposées par l’Europe. Des mesures qui peuvent évidemment avoir un impact sérieux sur notre économie. Et donc aussi sur l’organisation de chaque petite, moyenne ou grande entreprise de notre pays. »
(In)certitude
Ainsi, notre pays – et, par extension, l’économie mondiale – est passé d’une situation où la certitude a été la norme pendant des décennies à une situation économique où l’incertitude est à l’ordre du jour.
Koen De Leus : « Nous sommes passés de 'The Great Moderation' des 40 dernières années à 'The Great Chaos'. Dans notre livre, nous renvoyons à cet égard à un autre livre intitulé 'The Fourth Turning'. Tous les 80 ans, à la fin d’une génération entière, on constate des changements importants dans la société à l’échelle internationale. Ces 80 années correspondent à la durée de vie moyenne des gens. Nous visons ici la disparition de la génération qui a encore vécu activement la Seconde Guerre mondiale. Ces personnes qui sont aujourd’hui presque centenaires et ont créé des institutions telles que le FMI, la Banque mondiale et les Nations Unies. Des institutions qui avaient – et ont toujours – pour but d’éviter qu’une telle chose se reproduise. À l’heure actuelle, certains acteurs mondiaux ne voient plus la raison d’être de ces organisations. Tout est remis en question. C’est typique d’un 'Fourth Turning' : une sorte de période hivernale où il faut trouver un nouvel équilibre. Une telle période s’accompagne de volatilité, et les entreprises belges doivent donc considérer l’incertitude comme une donnée fixe dans notre économie. Les mois et années à venir ne feront pas exception à cette règle. »
Redresser l’échine
Selon Koen De Leus, l’Europe – et donc aussi notre pays – doit faire face à une transformation économique dans laquelle elle doit redresser l’échine et opter pour moins de dépendance : « La dépendance européenne vis-à-vis de la Chine se manifeste aujourd’hui, par exemple, dans la situation des voitures électriques. L’Europe a longtemps exporté ses voitures et d’autres technologies vers la Chine en échange d’un vaste marché ; aujourd’hui, cette symbiose n’existe plus. La Chine exporte massivement des voitures électriques vers l’Europe. La situation est donc très difficile pour nos propres constructeurs sur ce marché. L’usine Audi de Forest en est un exemple.
La manière dont les États-Unis réagiront à la Chine en tant que puissance économique mondiale dans les prochains mois dépendra des élections. Cependant, même sous Biden, les mesures protectionnistes de Trump sont restées en vigueur. La volonté européenne de réduire sa dépendance à la Chine et le ralentissement de la croissance qui y a été observé ont poussé notre économie davantage vers l’Amérique ces dernières années. Les exportations vers l’Amérique sont devenues nettement plus importantes pour nous. Mais nous échangeons ainsi une dépendance contre une autre. Il serait donc judicieux de réfléchir à la manière dont nous allons jouer davantage notre propre rôle économique nous-mêmes. »
Opportunités pour les entreprises
Pourtant, Koen De Leus ne veut pas être un prophète de malheur qui voit tout en noir : « Absolument pas. Parce que les entreprises fonctionnent également parfaitement dans un environnement économique marqué par l’incertitude et la volatilité. Certaines entreprises auront peut-être du mal à y faire face, surtout si l’on ajoute à cela la vague de réglementation découlant de la législation sur le climat. Mais cela peut à son tour entraîner une vague de consolidation. Ceux qui sauront jongler intelligemment et prudemment avec ces changements permanents en sortiront gagnants.
L’incertitude entraîne toutefois la nécessité pour les entreprises de prévoir des tampons. Pour intégrer la sécurité et les marges dans leur environnement d’entreprise, tant sur le plan financier que dans leur politique d’achat. Certaines entreprises diversifient leurs fournisseurs, car parier sur un seul cheval, c’est prendre un trop grand risque, ou constituent des stocks plus importants. Dans un monde de plus en plus volatile, le just-in-time doit peut-être céder sa place au just-in-case, surtout si vous voulez continuer de garantir vos produits à vos clients. Cela coûte certes de l’argent, mais dans une période d’incertitude telle que celle-ci, le stock est à considérer comme un tampon qui permet de limiter les conséquences des crises. »
Le marché financier suit
Selon Koen De Leus, les marchés financiers devront également s’armer contre cette incertitude : « La baisse constante des taux d’intérêt appartient en partie au passé. Les refinancements des prêts professionnels à des taux inférieurs aussi. Si les taux d’intérêt vont bel et bien baisser dans les mois à venir, je ne m’attends néanmoins pas à ce que nous retrouvions les taux d’intérêt ultra-bas d’avant le coronavirus. Nous tablons sur trois à quatre baisses de taux possibles cette année, en ce compris celles que nous avons déjà connues, et trois autres l’année prochaine. Nous arrivons ainsi à un taux plancher de 2,25 à 2,5%. Mais nous ne reviendrons pas au taux nul, et encore moins aux taux négatifs d’autrefois. À un peu plus long terme, les taux d’intérêt seront plus élevés qu’au cours de la décennie précédant le coronavirus en raison d’une inflation structurellement plus élevée.
L’incertitude joue donc un rôle beaucoup plus important dans la nouvelle économie mondiale. Au cours des prochains trimestres, les entreprises devront penser à se couvrir contre la hausse des taux qui se profile pour les années à venir. Il en va de même pour la hausse des prix des matières premières, qui se manifestera tôt ou tard, en raison des énormes pénuries dues aux investissements climatiques colossaux et à l’électrification. Le prix record du cuivre en mai de cette année n’est qu’un présage de ce qui nous attend à l’avenir. Dans les mois et années à venir, le 'principe du bon père de famille' reposera donc également sur la mise en œuvre d’une stratégie à long terme. L’incertitude y est simplement un facteur parmi de nombreux autres, dont les entreprises doivent tenir compte et contre lesquels elles peuvent parfaitement s’armer. »
Long terme
Selon Koen De Leus, nos entreprises ont à cet égard tout intérêt à réfléchir de manière approfondie et constructive à une stratégie à long terme qui soit adaptée à la nouvelle situation : « Cette stratégie à long terme doit de toute façon déjà être présente dans le modèle, mais il faut également y intégrer le facteur incertitude. Celui-ci ne va pas disparaître dans les années à venir. L’époque de la 'La Grande Modération' est révolue. Gérer une entreprise en bon père de famille, c’est planifier à long terme et tout simplement tenir compte d’une plus grande volatilité en faisant preuve de réalisme. Sécuriser intelligemment les achats, l’approvisionnement, et chaque étape de la chaîne crée la stabilité dont toute entreprise a cruellement besoin. Cela signifie en partie que nous prenons notre avenir économique en main. Et cela ne peut être qu’une bonne chose. »
10.06.2024
Koen Sticker est le « Trends CFO of the Year 2024 »
Koen Sticker, CFO du fabricant de tuyaux et canalisations Aliaxis, portera pendant 1 an le titre de « CFO of the Year ». Il a été couronné le 24 mai dernier et succède au palmarès à Mel de Vogue d’Etex. Koen Sticker est depuis 2016 le CFO d’Aliaxis et a œuvré à la croissance et l’internationalisation de son entreprise.
Avant 2023 et malgré une série d’acquisitions, Aliaxis ne s’était pas encore retrouvée sous le feu des projecteurs. Mais l’an passé, l’entreprise a largement fait parler d’elle lorsqu’elle a lancé une offre d’achat de 1,8 milliard d’euros pour le groupe finlandais Uponor. Aliaxis a été contrée par l’entreprise suisse Georg Fischer, mais a mené, en partie grâce à Koen Sticker, une guerre d’enchères élevées.
Dans son rôle de CFO, Koen Sticker a alors démontré combien la discipline financière est cruciale pour une entreprise. Il a certes consacré avec l’ancien CEO Eric Olsen beaucoup de temps et de travail à la préparation de l’offre d’Uponor. « Mais nous avions décidé dès le début où cela s’arrêterait pour nous » explique-t-il en évoquant cet épisode. « Lors d’une guerre d’enchères, les émotions peuvent rapidement prendre le dessus, mais nous avons renoncé au bon moment. Cela a été accueilli de manière incroyablement positive par les banques, les agences de notation et nos actionnaires. »
SD Worx remporte le « Deal of the Year 2024 »
Trends-Tendances a également récompensé le « Deal of the Year » pour la 5e fois. Toutes les fusions, acquisitions et opérations de capitaux de 2023 impliquant une entreprise belge entrent en ligne de compte pour ce prix. Le critère le plus important ? La plus-value financière et stratégique de l’opération pour les parties prenantes.
Et c’est SD Worx qui a décroché la victoire. L’entreprise s’est imposée comme un prestataire majeur en services RH, proposant notamment le calcul des salaires, le recrutement et la sélection, le développement des talents et la consultance RH. Grâce notamment à des acquisitions, SD Worx occupe aujourd’hui la 5e place mondiale de son secteur. Une introduction en bourse est prévue à long terme.
Olivia Doyen est « CF’Hope »of the Year
Avec le prix « CF’Hope of the Year », Trends-Tendances met à l’honneur un jeune CFO d’une entreprise de taille moyenne prometteuse et en croissance sensible. Olivia Doyen, CFO de l’entreprise de construction Galère, est la lauréate de cette année.
Après ses études, Olivia Doyen entame sa carrière chez Fortis Investments, qu’elle quitte pour Voo au bout de quelques mois. Trois ans plus tard, la jeune Sales Engineer rejoint Galère. Elle y est CFO depuis 2017.
Ce qui a séduit le jury ? Tout d’abord la bonne gestion des finances de l’entreprise par Olivia Doyen, mais aussi sa détermination à améliorer les performances financières de l’entreprise, et enfin son implication dans la fusion avec le groupe Thomas & Piron, préparée secrètement au cours de l’année 2021.
Partenariat
Depuis 2012 déjà, BNP Paribas Fortis et Trends-Tendances mettent à l’honneur les qualités exceptionnelles d’un CFO d’une entreprise du Top 500 belge. Plus tard, les prix « Deal of the Year » et « CF’Hope of the Year » sont venus compléter l’événement. Virginie Martens, Head of Corporate Coverage Belgium pour BNP Paribas Fortis, faisait cette année partie du jury.
Toutes nos félicitations aux vainqueurs ! Chez BNP Paribas Fortis, nous sommes toujours prêts à récompenser et à encourager les personnes et les entreprises qui font avancer notre économie.
03.04.2024
BNP Paribas Fortis Private Equity actionnaire de Stûv
BNP Paribas Fortis Private Equity entre avec Wallonie Entreprendre dans le capital de Stûv, un acteur de premier plan dans le domaine du chauffage utilisant les énergies renouvelables.
Energies renouvelables
Située à Bois-de-Villers, près de Namur, l’entreprise wallonne Stûv conçoit, produit et commercialise des solutions de chauffage individuel au bois et aux pellets, en Belgique et à l’international. 80% de la production est destinée à l’exportation.
Stûv a vu sa croissance augmenter considérablement ces deux dernières années. Les consommateurs optent de plus en plus pour des sources d’énergie renouvelable. Il y a plusieurs raisons à cela : la volatilité des prix de l’énergie, les risques de pénuries en raison de la dépendance énergétique de l’Europe et l’impact des énergies fossiles sur le réchauffement climatique.
Des projets ambitieux
Pour répondre à cette demande croissante, Stûv souhaite investir 16 millions d’euros au cours des cinq prochaines années. Les trois quarts de cet investissement seront consacrés à l’augmentation et à la modernisation de la capacité de production en Wallonie. Le reste servira à l’extension de leur site canadien. L’objectif final est de doubler le chiffre d’affaires consolidé.
Des actionnaires solides
Pour atteindre ces objectifs, Stûv accueille deux nouveaux actionnaires : Wallonie Entreprendre et BNP Paribas Fortis Private Equity. Outre du capital, ils apportent tous les deux un maximum d’expérience, de vision et d’expertise.
Raf Moons, Head of BNP Paribas Fortis Private Equity, est enthousiaste à propos de ce nouveau deal : « Nous sommes impatients d’accompagner la stratégie d’innovation ambitieuse de ce fleuron industriel wallon, belge et international. Leurs valeurs sociales et environnementales sont aussi parfaitement en phase avec celles de BNP Paribas Fortis. »
18.12.2023
Quelle est la Scale-up de l’Année 2023 ?
Vertuoza a été couronnée le 4 décembre. L’entreprise nivelloise active dans le secteur de la construction a triplé son chiffre d’affaires en 2023.
La 11e édition de la « Scale-up de l’Année », organisée par EY et dont BNP Paribas Fortis est un fidèle partenaire depuis le départ, a eu lieu le 4 décembre. L’objectif de ce prix ? Récompenser les scale-up bruxelloises et wallonnes en pleine phase de développement qui présentent un haut potentiel et un avenir prometteur. Et, ce faisant, les encourager à poursuivre leurs efforts.
Cette année, c’est donc Vertuoza qui a remporté le trophée et succède ainsi à Aerospacelab au palmarès de la Scale-up de l’Année, devançant les autres nominés MyData-Trust, TrustUp et Wooclap.
Vertuoza, meilleur amie des chantiers de construction
Fondée en 2021 par Antoni Di Filippo et Dominique Pellegrino, Vertuoza emploie aujourd'hui plus de 70 collaboratrices et collaborateurs répartis entre trois bureaux à Nivelles, Paris et Genève. Vertuoza est un logiciel de gestion de chantier très complet déjà devenu incontournable dans le secteur de la construction en Belgique, en France, en Suisse et au Luxembourg.
« Vertuoza est l'exemple même de l'entreprise à haute croissance dont la Belgique francophone a tant besoin », a déclaré le président du jury, Pierre Mottet. « Portée par trois co-fondateurs visionnaires – un entrepreneur en bâtiment, un développeur et un gestionnaire – elle a connu une croissance fulgurante de ses revenus récurrents, attirant plus de 2.500 entrepreneurs et triplant son chiffre d'affaires en 2023. Ce succès remarquable n'a pas échappé au jury. »
« Une fois de plus, nous sommes fiers des lauréats et des nominés, qui prouvent qu’il est toujours possible d’avoir des idées novatrices » ajoute Sophie Lefèvre, Executive Director chez EY. « Parce que des entreprises comme Vertuoza sont toujours critiques à l'égard de ce que veulent les clients et apportent des changements là où c'est nécessaire, d'autres entreprises peuvent s'en servir comme d'une véritable référence. Tous les candidats méritent de gagner, en raison du formidable esprit d'entreprise dont ils font preuve, mais Vertuoza s'est particulièrement distinguée. »
Source : EY